Lucifer
Lassé et fatigué d'être le "Seigneur des Enfers", Lucifer Morningstar abandonne son royaume et s'en va à Los Angeles où il est propriétaire d'une boîte de nuit appelée le "Lux". Lucifer a reçu le don de contraindre les gens à révéler leurs désirs les plus profonds. Un soir, Lucifer assiste au meurtre d'une ...
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Terminée | Américaine | 44 minutes |
Drame, Fantastique, Policier, Action, Comedy, Crime, Fantasy | FOX (US), Fox | 2015 |
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Avis sur l'épisode 2.12
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2017 à 18:49 |
Un point en plus par rapport à l'épisode précédent, uniquement pour la présence de Tim DeKay, qui me fait penser au fait qu'il est bon de comparer Lucifer à White Collar. Le gore n'est clairement pas mis de côté au sein de l'épisode, et même si je suis pas fan, ça fait bien peur. Sinon Chloé et Lucifer essaient chacun de leur côté de se remettre du baiser, et il est juste terrible de voir notre Diable le coeur brisé après la révélation de sa mère. Reste à savoir comment il va gérer cela. Rendez-vous la semaine prochaine pour la suite et fin de cette trilogie ! |
Bon, si on aime ce que j'écrit, je fais une effort. Alors que dire, pour doucher l'enthousiasme de Rhas... ce n'est pas très convaincantt, surtout que le plan du vilain du jour est TRES TRES cappilotractée.
Mais bon, c'est Tim Dekay et je suis aussi nostalgique que Rhas de White Collar... mais bon, le climax n'est pas très bon, là où le build up était pour le moins efficace.
Les scénaristes de Lucifer font des efforts du point de vue intrigue policière et c'est tant mieux... mais la vidéo arrive trop tard et donne le sentiment d'une conclusion rushée à l'extrème.
Surtout qu'une intrigue policière, même moyenne, ne tient pas la route face à une mythologie aussi foisonnante et transgressive que celle de Lucifer. Ce déséquilibre est la raison principale derrière ma note un peu basse car je voudrais que l'enquête résonne plus sur la continuité du récit ou la relation entre Chloe et Lucifer.
Mais le point qui m'a intrigué dans cet épisode repose sur la scène du broyeur, séquence très froide et premier gros éclat de la violence du show... une série sur le diable, faut-il le rappeler.
Cet esthétique froide, ce style de violence très graphique qui refuse les facilités du gore, voilà un élément nouveau du show, un choix artistique très intéressant qui casse avec le reste des productions actuelles (TWD par exemple).
Lucifer ou la violence intérieure plus que la violence visible, où l'âme souffre là où le corps demeure intact en apparence... Une série qui est bien plus qu'elle ne laisse paraître et peut-être l'un des shows les plus fascinantes du moment. Mais bancal aussi, vraiment trop bancal.