Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
Andrew qui fait son Michael, soit en défendant Meredith auprès de ses collègues, mais en étant hyper maladroit et vexant, cela aurait pu être bien, mais ça ne fonctionne pas. La faute notamment à l’histoire avec Erin qui revient polluer l’intrigue.
Par contre, sur le modèle de Broken Flowers de Jarmush, Michael, qui car il a un herpès, décide de revoir toutes ses ex, c’est beaucoup mieux et presque touchant tant ce personnage, souvent odieux et déplacé, n’est qu’un petit enfant devenu grand et en recherche perpétuelle d’amour et de reconnaissance.
Par contre, je n’ai plus aucun souvenir de la love story avec Carol.
Andrew Bernard vit une mauvaise passe. Car depuis le début de la saison, il a systématiquement le droit à un subplot, alors que le personnage rayonne plus lorsqu’il est utilisé avec parcimonie. Surtout si c’est pour lui offrir des trucs aussi inutiles et pénibles que cette histoire de groupe de rock. Comme l’autre partie de l’épisode est occupé par le trio Michael, Dwight et Jim pour un résultat pas renversant, on est clairement sur du mauvais épisode.
Seul une Meridith en fausse responsable de service, forcément libidineuse, m’a amusé
Un épisode plombé par la rancune disproportionnée de Michael envers Daryl. Un peu dommage, car cette fête d’Halloween, l’intro sur Stanley ou Pam qui veut savoir pourquoi son ex ne l’a jamais rappelé après le 2ème rendez-vous sont des subplots bien sympa.
Mon top 3 des déguisements :
3 – Gabe en Lady Gaga
2 – Kevin en Michael Moore
1 – Andrew en Bill de True Blood.
Ca-tas-tro-phi-que
La saison dernière, le mariage de Jim & Pam avait offert un chef d’œuvre d’épisode, quasiment le sommet de la série. Je comptais beaucoup sur le baptême de Cece (ce prénom à la con, tout de même, il faut le dire) pour lancer cette bien terne saison 7. Perdu de chez perdu, c’est au contraire à des funérailles que j’ai eu l’impression de regarder, la mise en bière de l’esprit de la série. Ici, rien ne fonctionne, tous les gags tombent à plat et les scénaristes semblent avoir perdu la foi en leurs personnages qui enferment dans des mécaniques vides et sans inspiration (le subplot de Michael avec le bus est désastreux).
Quelle tristesse….