Avis sur les séries
Avis sur les saisons
Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…
Avis sur les épisodes
Un épisode cata, le point zéro de la série, où la quintessence de l’humour est Dwight qui fait un check avec son pied.
Une horreur.....
Le retour d’Holly allié à l’esprit de Noël permet un double épisode vraiment fun, clairement le meilleur depuis des lustres, avec des subplots craquants (le cadeau de Pam pour Jim), voire fantastiques (la bataille de boules de neiges entre Jim et ce psychopathe de Dwight, intrigue que j’ai d’autant trouvé formidable car Jim n’a pas le dernier mot dans ce duel, pour une fois).
L’embellie n’a pas duré et cet épisode retombe dans les travers de la saison 7 : un Michael méchant et détestable (le moment où il humilie Kevin avec des légumes est très gênant), des idées de subplots pas mal, mais n’offrant rien de faramineux (les résolutions, Dwight + Andy + Darryl vont à la bibliothèque, puis à la patinoire), mais surtout une absence proche du néant de gags.
Cela commence de manière anthologique par la rencontre savoureuse entre Michael Scott et David Brent, moment délicieusement méta, mais trop succinct. Cela aurait pu être top de prolonger l’interaction des deux personnages, le temps de l’épisode entier par exemple, surement plus intéressant que le séminaire d’Andy, même si c’est n’est pas le subplot le plus navrant que nous a montré cette saison 7 et on y trouve quelques moments amusants (via Kelly notamment).
En fait, le souci de cette saison est qu’il y a deux intrigues amoureuses identiques (Andrew qui veut reconquérir Erin en couple avec Gabe (top tout de même, la référence Hardware dans cet épisode) et Michael qui veut reconquérir Holly, en couple aussi).
Sinon, je n’ai rien compris à l’intrigue de Jim et de son ancien camarade de classe.