Malgré de grands noms du cinéma d’horreur (Tobe Hopper, John Carpenter, Dario Argento, Joe Dante, une anthologie très décevante. Seul la Maison des Sévices tient son rang, les autres segments alternent le sympa sans plus ou le sans-intérêt. Pas du tout indispensable…

Un épisode qui suit la tournée du groupe en bus à travers les USA. Batailles d’égo, guerres pour le fric, promiscuité épuisante, RZA toujours aussi dictatural, il y avait moyen de faire un chef d’œuvre de montée en tension, ce ne sera juste qu’un épisode sympa, mais pas transcendant.

Un épisode bien sympa qui met en avant 3 membres du crew un peu mineurs : Deck, Masta Killah et U-God. Ce dernier, par ailleurs, ne semble pas connaitre pas le concept d'accueil dans un hôpital manifestement et que si on cherche la salle d'opération d'un malade, il faut demander à la dame à l'accueil et non débouler furibard dans l'hôpital et ouvrir des portes de chambre au hasard.

Je le craignais fortement, cet épisode sur la création du 1er album solo de Raekwon reprend le concept de l’épisode 3 de la saison 3. Et une nouvelle fois, je me pose la question de faire tenir le délire sur une heure (à part du remplissage de saison), tant ce moyen-métrage glorifiant la Thug Life n’est qu’un ramassis de clichés et ne cherche jamais à créer de l’inédit. Cette saison n’a vraiment pas grand-chose d’autre à raconter ? Le destin tragique de ODB par exemple ?

Bref, je ne noterai pas cet épisode, car je ne l’ai pas vraiment regardé.

Un épisode complet où l'on suit Divine au bord de la crise de nerfs dans son rôle de manager du groupe, confronté aux comportements et aux egos des rappeurs du crew qui ne lui facilitent pas la vie. Si la story de Deck est relativement triste (le pauvre, malgré son envie, sera l'un des derniers membres du groupe à sortir son album solo qui ne laissera aucune trace dans l'histoire de la musique), le reste se laisse regarder sans vraiment de passion.

Il est temps que la série se termine.