Un épisode agréable histoire de commencer en douceur après la pause depuis The Snowmen, qui relance l'intrigue à propos de Clara. J'ai trouvé cet épisode bien réalisé, avec de très bons personnages. Jenna-Louise Coleman se montre déjà magnifique, comme elle l'a été dans ses précédents épisodes. Matt Smith est, quant à lui, tout aussi bon que d'habitude dans son excellente interprétation du Docteur. L'actrice jouant Miss Kizlet est assez agréable. Les personnages secondaires sont aussi sympas. Nous avons aussi un petit clin d'oeil au travail de R.T.D. avec un épisode qui semble critiquer la technologie, comme notre ancien showrunner avait l'habitude de le faire. Cet épisode s'inspire aussi d'anciens épisodes de Moffat, en changeant la fameuse réplique "Don't Blink" en "Don't Click". L'intrigue est bien trouvée et très moderne. Cette idée du Wi-Fi contrôlant les gens est intéressante, et nous montre que Moffat a toujours de bonnes idées. La résolution est, quant à elle, bien trouvée. Au final, la méchante se révèle n'être qu'une simple marionnette, au service d'un ennemi que l'on déjà vu récemment et les sbires de cette Miss Kizlet n'étaient aussi que des gens manipulés. Sinon, cet épisode à quelques passages drôles. En bref, il s'agit d'un épisode intéressant, mais simple. Je vais donc lui attribuer la note de 14. A très bientôt pour "The Rings of Akhaten" !

Bon, continuons la saison 7 avec l'épisode de voyage dans l'espace qui suit toujours l'arrivée d'un nouveau compagnon. Un épisode avec un peu plus d'action que le précédent et un peu plus d'aliens ! L'épisode commence avec une petite mise au point, en nous montrant quelques petits éléments de l'enfance de Clara et nous fait rencontrer ses parents. Ce passage agréable nous montre que l'intrigue sur Clara est toujours d'actualité et nous montre que des questions se posent toujours sur elle. Les personnages sont, ici encore très bons. Jenna-Louise Coleman nous montre une autre excellente interprétation et Matt Smith reste magnifique. Une mention spéciale à l'actrice jouant Mary Ghellal, dont l'interprétation et le jeu ont été très intéressants et agréables. Les extraterrestres sont originaux, comme Moffat en a l'habitude. Ensuite, félicitations au niveau sonore ! C'était magistral ! Nos oreilles ne s'ennuient jamais dans cet épisode, notamment grâce à de magnifiques musiques et à de magnifiques chansons ! L'intrigue est, quant à elle, très intéressante : on nous parle d'un Dieu qu'il faut maintenir endormi grâce à d'infinies chansons et qui semble.... se réveiller. La résolution est assez sympa et ne se limite pas à un coup de sonic screwdriver ou à quelque chose d'injustifié ou d'inexpliqué. Autre mention spéciale au grand discours du Docteur, que j'ai adoré et qui restera dans les mémoires comme celui de la Pandorica ! Pour ce qu'il s'agit des références, il y en a plusieurs, telles que le "grand daughter" qui réfère à Susan Foreman, la petite-fille du Docteur dans la série Classique. Il y a aussi une bonne référence au bar de Star Wars. Bref, un épisode qui nous en met plein les yeux et plein les oreilles. J'attribuerais donc la note de 16 à cet épisode, que j'ai particulièrement apprécié ! A très bientôt pour Cold War !

Que dire de cet épisode anniversaire des 50 ans ? Du pur Doctor Who, du pur Moffat, grandiose, comme bien souvent. Alors oui, cela donne encore de quoi râler aux anti-Moffat, mais bon. Je n'aime pas Mofat, je n'aime pas non plus RTD, pas plus l'un que l'autre en tout cas. Non, j'aime Doctor Who. Comme certains l'ont déjà dit, célébrer les 50 ans de la plus grande série de science-fiction, plus grande encore mais mon connue que Star Trek, était le plus gros challenge que Moffat ne puisse jamais avoir. Mais il a réussi. Il l'a fait. Il a réussi à saluer le passé comme personne d'autre n'aurait pu le faire (car oui, j'étais déjà en pleurs au bout des 5 premières minutes, un tel salut, une telle surprise : le générique, puis l'école, puis le policier.... Impossible de ne pas adorer quand on est un vrai fan de Doctor Who, et pas de Moffat ou de RTD spécifiquement). Ceci en y ajoutant les Docs, tous les Docs, qui s'unissent pour sauver Gallifrey, leur patrie, qu'ils croyaient perdue. J'ai encore pleuré à ce moment là. Tellement grandiose. Mais Moffat se tourne aussi vers le futur. Qui s'attendait réellement à voir Capaldi ? Je ne vois aucune main se lever, je m'en doutais... Et il fait ceci, tout en gardant Doctor Who intact : il garde ce qui définit profondément la série, c'est-à-dire l'action, l'émotion, et la science-fiction, le mélange des genres autrement dit. Donc oui, beaucoup ont probablement gueulé au scandale après ce sauvetage miraculeux, surtout à cause de End Of time qui partait soi-disant en poussière, mais beaucoup de ces râleurs sont des anti-Moffat bizarrement, alors je n'en tiens pas compte. Surtout que d'un point de vue temporellement linéaire, cela tient absolument la route, mais je ne développerais pas ici, sauf demande particulière. Voilà ce que j'en dis, pour conclure : magnifique. Rien d'autre. J'ai adoré. Merci Moffat.