Ça y est, nous y sommes. Après nous avoir laissé sur un méchant cliffhanger il y a de ça quelques mois, The Walking Dead a fait son grand retour dimanche soir sur la chaîne AMC. Un retour très attendu, car il allait permettre aux fans de découvrir enfin l’identité du personnage qui n’a pas survécu à sa rencontre avec Negan et sa copine Lucille. Après une attente interminable faite de rumeurs, de photos volées et de théories, il était plus que temps de faire place à du concret. C’est chose faite avec ce season premiere émotionnellement et psychologiquement très éprouvant… peut-être même trop éprouvant…
Attention, cette critique est truffée de spoilers de l'enfer.
La fin d’un suspense insoutenable
Contrairement à nos amis les scénaristes qui avaient décidé de jouer avec nos nerfs jusqu’au bout, j’ai fait le choix délibéré de commencer ma critique par LA révélation attendue de tous depuis la diffusion de l’épisode Last Day on Earth. Cette révélation, c’est celle de l’identité de la victime de Negan… ou plutôt devrais-je dire des victimes de Negan. The Walking Dead, parce qu’elle sait comment créer le buzz et aussi parce qu’elle a conscience que ses fans sont légèrement frappadingues, a choisi d’être généreuse avec eux et de récompenser leur attente, non pas avec une mais bien deux morts. Abraham est le premier à tomber sous les coups de batte de Negan, suivi ensuite par Glenn. Mais alors, que penser réellement de ces deux morts ? Sont-elles à la hauteur de mes attentes ?
Lucille a frappé...
Pour ce qui est d’Abraham, la mort du protagoniste était devenue assez prévisible tellement la saison 6 se présentait un peu comme son baroud d’honneur. À bout psychologiquement, il était frappé d’une soudaine prise de conscience qui l’avait aussi amené à une remise en question. La série nous a habitués à ce que chaque personnage avant de mourir ait le droit à son moment de bravoure ou du moins à son introspection. En soi, le choix d’Abraham n’est donc pas une réelle surprise.
J’avoue qu’en découvrant qu’il avait été choisi par Negan, mon visage a quelque peu fait la grimace. D’une part, parce que cette mise à mort est juste horrible à regarder, mais aussi parce que je trouvais le choix de la victime beaucoup trop facile. Pour être honnête, parmi les choses que je redoutais le plus au moment de ce fameux cliffhanger, le fait que la série décide finalement de supprimer un personnage secondaire plutôt que de prendre un véritable risque en s’en prenant à son cast principal était sans doute la plus importante. Pour moi, les scénaristes n’avaient pas le droit à l’erreur cette fois, et je n’aurais pas supporté d’être encore manipulé par de fausses promesses.
Autant dire que, lorsque Negan choisit Abraham, l’état de tension que la série était parvenue à instaurer après des mois de suspens et de déclarations tonitruantes est très vite retombé, faisant peu à peu place à la déception. Pourtant très émouvante et choquante, la mort du colosse n’était pas à la hauteur de l’évènement et pour moi, The Walking Dead venait de louper quelque peu le rendez-vous qu’il ne fallait pourtant pas rater. Quelle ne fut donc pas ma surprise lorsque Negan s’en est soudainement pris à Glenn.
Même si ce personnage n’était plus le préféré des fans depuis longtemps et qu’il n’avait pas le charisme d’un Rick, d’un Daryl ou d’une Michonne, le fanfaron des débuts n’en demeurait pas moins un personnage majeur de la série. Présent depuis le deuxième épisode, il faisait partie, avec Rick et Daryl, des derniers représentants de la première saison, s’affichant sur quasiment chaque poster promotionnel. En tant que tel, il est donc bel et bien un personnage central à mon sens, et sa mort devient logiquement un événement majeur de la série.
En outre, que nous n’aimions pas ou plus ces deux protagonistes (ce qui n’était pas vraiment mon cas, je dois l’admettre), leurs morts n’en demeurent pas moins choquantes, violentes et d’une brutalité sans nom. J’ai vraiment du mal à imaginer qu’on ne puisse ressentir aucune émotion devant des scènes qui pour moi sont les plus insoutenables de la série, avec celle de la décapitation d’Hershel et la séquence de la bassine au Terminus. Voir ces deux protagonistes que l’on avait appris à connaître et à aimer (ou détester) se faire sauvagement tuer sous les yeux de leurs amis était une sacrée épreuve. Un supplice, même, auquel la série nous avait rarement habitués.
Enfin, la dernière séquence, qui décrit un futur alternatif dans lequel Rick et sa bande sont heureux, accompagnés par Glenn et Abraham, est un très bel hommage rendu à ces deux protagonistes qui ont malgré tout marqué la série de leur empreinte. Un hommage qui permet aussi de tirer définitivement un trait sur un possible futur idyllique. Avec Negan, le monde vient définitivement de basculer dans la violence…
Une violence (enfin) assumée
Ceux qui ont déjà lu mes différents articles sur la série au cours de ces dernières années savent que l’un des reproches que je lui attribuais assez régulièrement, c’était son manque d’audace et sa manière d’édulcorer une violence pourtant bien présente dans les comics originaux. Pour moi, c’était le gros point négatif de cette adaptation télévisée, et c’est aussi ce qui l’empêchait de rendre réellement compte de la cruauté de ce nouveau monde.
Avec un épisode comme celui-ci, impossible pourtant de parler d’atténuation de la violence. Bien au contraire. De la cervelle explosée d’Abraham au visage ensanglanté de Glenn, le crâne fracassé et l’œil sorti de son orbite, la série a décidé de jouer la carte du gore et de quasiment tout montrer… sans doute plus que ce que la majorité des fans attendaient. Elle aurait très bien pu choisir de filmer ces massacres en hors-champ et de rester dans la suggestion et la supposition, mais elle a fait le choix osé de ne rien cacher.
Ma tête en regardant cet épisode
Cela donne donc un épisode particulièrement éprouvant, parfois difficile à regarder. Un épisode qui prend aux tripes et qui révèle pour le coup toute la cruauté de ce monde dont le nouveau représentant n’est autre que Negan. Sur ce point, The Day Will Come When You Won't Be est une réussite. Il nous met mal à l’aise, nous choque et nous fait frissonner. Les scénaristes n’hésitent pas enfoncer le clou en ayant recours à des scènes dont l’objectif est de faire décupler encore davantage une tension dramatique pourtant bien présente. Alors que certains reprochent à la série de ne pas avoir été assez loin, je serais plutôt tenté de dire le contraire et lui reprocher justement d’en avoir peut-être trop fait. Car oui, toute cette violence poussée à son paroxysme me laisse dubitatif quant à la suite des événements. Si j’ai apprécié être chamboulé par tant de violence et de brutalité, j’ai du mal à imaginer comment la série pourra faire plus fort par la suite sans tomber dans une forme de violence totalement gratuite, ou dans une sorte de surenchère et d’exagération qui lui ferait perdre toute crédibilité.
New world, New villain
Reste que cet épisode est le plus angoissant de la série. Un bon point quand on sait qu’il avait pour objectif principal d’insérer un nouveau grand méchant au récit, et d’esquisser une nouvelle orientation au show.
La fin de la saison 6 nous avait donné l’occasion de faire une première rencontre avec Negan, le chef des Saviors dont nous avions entendu parler, mais qui avait décidé de se faire désirer. De l’avis de quasiment tous les fans, et si on ne tient pas compte du cliffhanger frustrant qui avait accompagné son apparition, ce premier aperçu était déjà très prometteur. En quinze minutes, il était déjà parvenu à s’imposer, grâce à son charisme, son autorité, mais aussi son côté légèrement blagueur et imprévisible.
Ce nouvel épisode se devait donc de ne pas décevoir et d’être à la hauteur du protagoniste dont nous avions fait brièvement connaissance. Un protagoniste qui, rappelons-le, sera au cœur des épisodes à venir. Sur ce point, nul doute possible : la série a réussi son pari. Après cet épisode, Negan devient officiellement et sans doute définitivement LE plus grand méchant de l’histoire de la série. On le savait charismatique, autoritaire et blagueur, on le découvre aussi pervers, possessif et égocentrique. Un mélange détonant pour un personnage qui n’a pas fini de nous mettre mal à l’aise. Jeffrey Dean Morgan est génial et semble parfaitement taillé pour le rôle. Indiscutablement, le comédien y est pour beaucoup dans cette réussite.
C'est dingue : même de dos, il a la classe !
Dans cet épisode qui est entièrement consacré à Negan, ce dernier tue deux protagonistes et organise deux petits jeux malsains mettant une nouvelle fois en danger la vie de Rick et celle de ses proches. Le but de tout ceci : faire plier le shérif, le mettre plus bas que terre et le pousser à accepter une nouvelle autorité. Résultat : quarante-cinq minutes avec Negan, c’est quarante-cinq minutes intenses, bourrées d’angoisse et de terreur.
Je ne reviendrai pas sur les deux morts que j’ai déjà abordées, pour me concentrer maintenant sur les deux petits jeux malsains orchestrés par le chef des Saviors. Dans le premier, il demande à Rick de retrouver une hache au milieu d’une horde de zombies perdue dans la brume. Cela donne l’occasion de découvrir notre « héros » seul face à lui-même, en pleine introspection et essayant tant bien que mal de digérer ce qui vient de se passer. J’ai bien aimé cette séquence légèrement déconnectée du reste de l’intrigue. L’imagerie y est soignée et la symbolique pertinente. Ce plan où Rick se retrouve à genoux sur ce camping-car devant le mort-vivant pendu qu’il avait rencontré plus tôt avec le reste de son groupe est plein de sens. Il symbolise sa propre déchéance.
Seul petit hic de cette séquence : les scénaristes ont fait le choix de l’intercaler entre le début de l’épisode et le moment de la révélation de la victime de Negan. Du coup, cela donne l’impression qu’elle n’est là que pour faire durer un peu plus le suspens, alors même qu’elle aurait pu facilement avoir sa place ailleurs dans le récit. Ce choix maladroit et pas vraiment justifié est d’autant plus dommage que la séquence est réussie. Un léger gâchis.
Dans le second jeu organisé par Negan, il place le shérif face à un choix cornélien impliquant la vie de tous ses camarades. Le principe : soit il accepte de sectionner le bras de son fils Carl, soit ses camarades encore vivants se font exécuter. Heureusement, le chef des Saviors voulait juste tester Rick et l’arrête avant qu’il ne commette l’irréparable. Reste de ce passage un dilemme atroce et une scène particulièrement tendue. Du côté des fans, il y a eu deux réactions : d’un côté, nous avons eu les frustrés qui pensent que la série a manqué de courage et auraient aimé que Negan poursuive ce petit jeu jusqu’au bout. De l’autre, nous avons eu les soulagés, ceux qui trouvaient que la série avait déjà été très loin dans cet épisode et qu’il n’était pas nécessaire d’en rajouter une couche, à moins de vouloir basculer dans la surenchère.
Je fais partie de la deuxième catégorie de fans. Tout l’intérêt de cette séquence ne réside pas dans le fait de sectionner ou non la main de Carl, elle réside dans le comportement et la réaction du shérif à ce moment-là. Sur ce point, cette scène est une réussite : Rick n’a plus le pouvoir, il se retrouve écrasé et se voit contraint de supplier son rival et d’accepter ainsi son autorité. L’empathie fonctionne à plein régime et c’est ce qui rend cette scène particulièrement atroce. De plus, le fait que Negan arrête Rick avant qu’il ne passe à l’acte vient renforcer la dimension perverse et malsaine de ce personnage. Cette scène n’aurait pas eu le même effet sur moi et je n’aurais pas eu la même vision de cet antagoniste s’il avait décidé d’aller jusqu’au bout. Ce choix est volontaire et ne traduit en rien un manque de courage de la part des scénaristes, le but étant de faire de Negan un méchant pervers, imprévisible, et qui est obsédé par le pouvoir, un thème qui revient tout au long de l’épisode sous différentes formes.
Pour être honnête : je trouve ça assez déroutant de constater que certains trouvent encore le moyen de reprocher à la série d’avoir été trop sage. Il y a cette scène avec Carl donc, mais nombreux sont ceux qui ont aussi été déçus par la mort d’Abraham et Glenn, car ils auraient trouvé plus couillu que la série supprime des personnages plus importants. Je ne sais pas pourquoi, mais ce constat me choque peut-être plus que l’épisode lui-même. Même si on parle d’une fiction et donc de personnages fictifs, je constate l’effet que cette série a sur nous et à quel point nous en voulons toujours plus. Pour preuve, la série choisit de tuer deux protagonistes alors qu’elle aurait pu largement se contenter d’un seul. Une victime de plus, qui pourtant n’aura pas réussi à satisfaire les fans les plus exigeants. Après ça, il ne faudra pas s’étonner le jour où la série aura totalement basculé dans la violence gratuite…
Un season premiere qui a des allures de season finale
En fait, l’un des seuls véritables reproches que l’on pourrait faire à cet épisode, c’est qu’il sert d’introduction à une saison alors qu’il n’est en fait que l’introduction d’un personnage apparu furtivement à la fin de la saison précédente. En tant que tel, il aurait été parfait en guise de season finale de la saison 6. Dommage que la recherche de buzz et de sensationnalisme ait été plus forte que tout. C’est un peu gênant car l’épisode, aussi sensationnel et intense soit-il, ne devient qu’une parenthèse, un moment de transition. Mis à part présenter davantage la cruauté de Negan et mettre Rick à genoux, il ne met en place aucun véritable enjeu pour la saison à venir. Or, le but d'un season premiere à la base consiste au moins à faire apparaître un début de fil rouge. Officiellement, cet épisode ouvre la saison 7 de la série. Officieusement, j’ai envie de dire qu’il s’agit de l’épisode 17 de la saison 6. Il y a d’ailleurs de très fortes chances pour que le prochain épisode ait davantage des allures d'épisode introductif.
On sait pas trop où on va, mais y on va quand même...
C'est sans doute ce qui m'a le plus mis en colère en découvrant cet épisode que j'ai pourtant vraiment aimé et qui, en soi, ne m'a pas déçu. Il n'a fait que confirmer le caractère opportuniste de ce cliffhanger qui avait clôturé la saison 6. D’ailleurs, si j’ai autant aimé cet épisode, c’est aussi parce qu’il met fin à cette mascarade. En revanche, ce n’est pas parce que j’ai aimé cet épisode que j’oublie pour autant la stratégie mise en place par les scénaristes pour introduire ce nouveau méchant. Pour moi, ce cliffhanger est et restera un sacré foutage de gueule, un doigt d’honneur fait aux fans du show, une manière de leur rappeler qu’ils ne sont que des pions sur un échiquier. Si cet épisode permet à la série de se faire en partie pardonner, elle ne doit son salut qu’à un seul personnage. Et c’est donc sur un message personnel teinté de déception et de méfiance que j’ai décidé de terminer cette critique pourtant positive.
Chère The Walking Dead,
Cela faisait quelque temps maintenant que je ne t’avais pas écrit. Pourtant, ce n’est pas l’envie qui me manquait, surtout après le sale coup que tu m’avais fait en avril. Franchement, comment as-tu pu m’abandonner comme ça, sur une telle tension ? Toi, la série la plus populaire du moment, avais-tu besoin d’un tel stratagème pour t’assurer du retour de tes fans chéris ?
Sache-le, ma chère, que j’aime être surpris, j’accepte même d’être manipulé quand cela est nécessaire et justifié. Par contre, je déteste être pris pour un couillon. Pour cette reprise, je vais te mettre une très bonne note, tout simplement parce que cet épisode le mérite, mais crois-moi si je te dis que tu n’as pas intérêt à me décevoir par la suite. Ce n’est pas tout de créer l’évènement avec un épisode comme celui-ci et avec un méchant d’enfer qui commet des actes abominables, il faudra aussi savoir l’utiliser à bon escient par la suite. Le plus dur reste à faire et tu ne pourras pas toujours te cacher derrière un Negan pour faire illusion ou manipuler ceux qui t’aiment le plus.
Avant toute chose, je tenais à te féliciter pour deux choses : la première, tu as réussi à garder secrète l’identité de tes victimes jusqu’au bout, et ce malgré les rumeurs sur la toile, les photos volées et j’en passe. Il faut dire que tu avais mis le paquet pour brouiller les pistes, allant jusqu’à filmer l’exécution de plusieurs personnages et demander à ton cast de donner de fausses interviews. La deuxième, l’opération a été un grand succès et tu as réussi à rassembler plus de 17 millions de téléspectateurs devant cet épisode charnière, qui de l’avis de tes comédiens et scénaristes marque un tournant dans la série. Il n’y a pas de doute, tu es très forte.
À toi maintenant de te montrer digne de la confiance qui t’a été une nouvelle fois portée. Si pour ma part, j’ai décidé de faire le choix une fois de plus d’être sympa et clément avec toi, ce ne sera sans doute pas le cas de tout le monde. Certains décideront peut-être même de te sanctionner pour ton arrogance et tu ne pourras pas leur en vouloir. Quand on décide de s’amuser avec ses téléspectateurs comme tu le fais depuis si longtemps, de jouer avec leurs attentes pour faire monter la hype, on prend toujours un peu le risque de se brûler les ailes à un moment donné. Tu as joué, ils jouent, nous jouons tous ensemble… Espérons juste qu’à ce jeu-là, tout le monde finisse gagnant.
Sur ce, je te souhaite une très bonne saison.
PS : Pense à remercier Negan quand même. Sur ce coup-là, tu lui dois une fière chandelle. Grâce à lui, il y a de fortes chances pour que tu restes dans les mémoires.
Même si je serais tenté de dire oui, difficile pourtant d’affirmer si The Day Will Come When You Won't Be est le meilleur épisode de la série. Il faudra sans doute attendre un peu avant de lui offrir ce titre. Le temps de prendre un peu de recul pour mesurer l’impact que ces événements ont eu sur nos survivants et sur nous, et à quel point cette rencontre fut déterminante ou non. En attendant, on peut d’ores et déjà affirmer qu’il s’agit de l’épisode le plus intense et éprouvant de la série à l’heure actuelle. Tellement éprouvant et intense que nous sommes en droit de nous demander si la série n’a pas atteint là le summum de la cruauté. Ce qui est certain, c’est qu’il lui sera compliqué de maintenir un tel niveau d’intensité, puisqu’elle vient de placer la barre très haut.
J’ai aimé :
- Découvrir enfin l’identité des victimes de Negan.
- La violence assumée de cet épisode.
- Negan. Le plus grand méchant de l’histoire de la série a le droit à une entrée en matière plus que convaincante.
- Jeffrey Dean Morgan est juste génial.
- Une imagerie plutôt soignée dans l'ensemble.
- Quelques bonnes idées de mise en scène (vue subjective, futur alternatif…).
- La tension et l’intensité générale de cet épisode.
- La manière dont la série nous raconte la chute de Rick.
Je n’ai pas aimé :
- Le choix de retarder encore un peu la révélation concernant l'identité de la victime de Negan au début de l'épisode.
- Le manque de perspectives pour la saison à venir : cet épisode aurait dû conclure la saison 6.
- Mes doutes concernant le futur de la série. Après un épisode si intense, il sera difficile de maintenir ce niveau. À voir comment la série va gérer la suite…
- Ce cliffhanger me restera toujours en travers de la gorge...
Ma note : 18/20.