Déjà que le rythme n'était pas emballant et les personnages pas hyper fun, voilà que l'enquête se met à s'étioler.

Le jeu de piste languissant que nous offre l'épisode est un exemple de non rythme, une enquête laissé au hasard.

"Où mène cette route?"

"Vers un sanatorium abandonné, il y a une heure de route pour y aller"

"Donc il s'agit d'une route où on ne rencontre RIEN de chez RIEN, à part un sanatorium au bout. C'est l'Australie, ici? Bref, allons-y, et j'irai armé et avec gilet par balle, sans trop de raison, alors que je viens de me balader dans un autre lieu suspect, un restaurant abandonné, la fleur au fusil et les mains dans les poches".

Pour au final, une fois arrivé sur le lieu, que Darius comprenne tout de l'intrigue (et notamment que les ados suicidés ont été en vrai abattu car ils ne pouvaient se régénérer), simplement en aillant juste trouvé des centaines de matelas et des impacts de balles.

Ad Vitam se perd dans ses trop nombreux épisodes.