C'est beau, c'est bien "fantasmé", le personnage qui joue le tueur est dingue de charisme, Donatella mache à fond et Cruz n'est pas la cata, loin de là.

ACS met à l'épreuve notre autodiscipline. Il serait tentant, en effet, à l'issue de ce pilote de se jeter sur l'internet et de s'auto-spolier.

ACS est aussi une machine incroyablement huilé. Dès les premières minutes, on est happé par l'efficacité et la virtuosité de l’œuvre.

De prime abord, cette seconde saison paraît plus linéaire, moins complexe que la première, mais je ne me souviens plus trop de l'affaire Versace (ce qui joue en ma faveur) et je fais confiance à la série à nous faire tenir en haleine toute la saison.