Il était temps de faire sortir Barry de prison, car tout le monde, avec ce fatigant jeu du chat et de la souris, tournait en round. Sinon, scénaristes, la Sally détestable ne nous manquait pas, c'était inutile de la faire revenir. 

Par contre, j'avoue que j'ai bien aimé le parallèle entre le programme de protection des témoins ("elle devra se couper de ses amis et de sa famille, ne plus jamais les recontacter") et une relation toxique d'une femme sous l'emprise d'un pervers narcissique ("ce sera ok pour elle, elle a dit que je la rassurais"), dommage que ce ne soit juste qu'un dialogue noyé dans le ronronnement du reste.