BoJack Horseman
Vingt ans après avoir crevé le petit écran dans la sitcom culte Horsin’ Around, l’étalon le plus célèbre des années 1990 a perdu de sa superbe. Alcoolique et déprimé, BoJack vit dans une garçonnière à Hollywood et traîne son amertume dans des pulls bigarrés. Heureusement (ou malheureusement ?), le ...
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| Terminée | Américaine | 25 minutes |
| Animation, Comedy, Drama | Netflix | 2014 |
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Avis sur l'épisode 3.08
Galax
Jo_| Avis favorable | Déposé le 18 novembre 2018 à 14:01 |
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Je ne suis pas quelqu'un qui apprécie particulièrement le 31 décembre. Un prétexte pour souvent faire la fête et oublier sa routine quotidienne, mais pourquoi ce jour là et pas un autre ?... Bref, que chacun sombre un peu plus à cette date ne m'a pas dérangé, bien au contraire. On fait souvent le point en fin d'année, et le constat est parfois amer. C'est le cas ici. Personne ne ressort grandit de cet épisode. En tout cas, personne que l'on apprécie. On suit des anti-héros depuis 3 saisons, et on a appris à les aimer. Parce que pour une fois, dans l'univers aseptisé qu'est Los Angeles, ils sont comme nous. Mi-gentils, mi-connards (si si !). Chacun sombre dans son propre chaos et une sorte de plaisir coupable me rend pressée de savoir de quelle manière. PS : encore plus de vannes sur les labradors <3 |
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RasAlGhul| Avis favorable | Déposé le 16 janvier 2018 à 22:03 |
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J'ai quand même un peu de mal avec Mr. Peanutbutter et Diane. C'était agréable de voir le premier plus nuancé en revanche, c'était un peu triste même. Le happy end est assez subversif, j'ai bien aimé. Et une nouvelle fois, tu sens que la fin de saison va être extrêmement sombre. |
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nicknackpadiwak| Avis favorable | Déposé le 24 août 2017 à 20:16 |
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Koss avait dit un jour, un truc du genre : "Les fins d'épisodes de BoJack Horseman sont souvent très réussies". Et il avait raison, le bougre. (Il a aussi dit d'autres trucs moins vrais, comme "Le soldat Ryan" est le meilleur film de guerre de tous l'histoire du cinéma, je ne le suivrai pas là dessus). Mais en effet, ce happy end, parce que les gentils gagnent toujours à la fin, est génial et fait sensiblement remonter ma note. Sinon les gags sur les chiens, c'est juste le bon dosage, suffisamment pour être drôle et pas trop à être lourd. Todd et son idée qui dérive lentement est top aussi, une des meilleurs storyline de l'homme au bonnet jaune. J'adore cette saison 3. |
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Gizmo| Avis favorable | Déposé le 16 septembre 2016 à 13:36 |
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Spoiler
Le pré-générique donne le ton, mais jusqu'au bout j'ai cru à un rebondissement autour de Rabbitowitz et de Gekko, un retournement de situation qui n'en feraient pas les "gentils" de l'épisode. Car ces personnages, nous ne les aimons pas puisque nous avons appris à les voir par le prisme de BoJack et Princess Carolyn. Qui eux sont blancs comme neige, bien évidemment... La série touche à quelque chose de très juste dans le rapport que peut entretenir un spectateur avec un anti-héros ou un héros négatif. Je sais que BoJack est un sale type, je sais qu'il mériterait de se planter, et pourtant j'espérais que la situation allait tourner à son avantage dans cet épisode. L'épisode réunit un cast impressionnant pour décrire un tournant dans la carrière de BoJack: le moment où il n'a pas su décider entre Horsin' Around et son avenir. Depuis le season premiere, la saison joue autour de cette idée, mais elle trouve ici un superbe aboutissement. Au huitième épisode de la saison, les enjeux continuent de s'intensifier en parvenant à combiner toutes les différentes facettes de la série. Certes, je regrette encore une fois la mise en retrait de Diane, PeannutButter (même si les gags sur les labradors sont excellents et que les labradors sont les meilleurs chiens au monde, je le rappelle) et Todd, qui sont finalement cantonnés à être des personnages secondaires cette saison. Mais comme j'ai eu l'occasion de le répéter à de nombreuses reprises, la série n'est jamais aussi forte que lorsqu'elle se concentre sur BoJack. Et vive les labradors libres ! |
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| Avis favorable | Déposé le 27 juillet 2016 à 22:07 |
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"Nous allons gagner car nous sommes les gentils" Episode excellent. Parce que oui, c'est bien un happy-end. Parce que Bojack est un connard. Même chose pour Ana Spanikopita (je viens de me rendre compte que c'était Angela Basset putain). On ne suit pas des héros. Ca n'a jamais été le cas. L'épisode le rappelle cruellement. Le reste de l'épisode est vraiment bon aussi. Avec une plétore de vannes sur les chiens (mais comment ils font bordel ?) et une amertume bien maitrisé. Comme d'hab', la fin de saison va être bien sombre. J'ai hâte. PS : Je viens juste de me rendre compte que l'assistant de Carolyn s'appelle Judah. Forcément. |
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J'adore Peanutbutter et Diane donc leur intrigue, aussi éloignée du reste soit-elle, m'a plu. Et Peanutbutter est juste trop mignon quand il couine en dormant. J'ai envie d'aller dans ce monde de labradors.
L'intrigue principale de l'épisode tourne autour de la partie que je préfère dans BoJack : le côté agence d'Hollywood. Le tandem Rutabaga-Gecko est en effet les "gentils" de l'épisode et la fin est archi logique. Du bon.
La saison a été très inégale jusque là mais la série semble repartie sur une bonne lancée.