Boss continue sur sa lancée et nous livre un, très bon épisode !

J'ai pas grand chose à dire, je voulais juste mettre 16 :)

Je rejoins l'avis général, épisode splendidement bien traité et maitrisé, toute les hallucination de Kane sont très bien mise en scène, et que dire de la prestation de Kane juste grandiose ! J'adore

Splendide épisode remarquable d'intensité de maîtrise.

Et un cours de cynisme à l'état brut ! Chaque personnage y va de sa petite récupération politique du drame. Aussi impressionnant qu'écoeurant...

Sinon j'aime bien le nouveau qui remplace Kitty, et je trouve que le choix de la remplaçante d'Ezra est prometteur et augure d'un développement intéressant pour la suite.

Bravo pour cet épisode !

Pareil que les autres avis. C'est fou comment la série arrive à jongler entre le drama, la politique, la manipulation, les coups bas... Le maire profite sans scrupule de toutes les situations, que ce soit moral ou non. Et le pire c'est qu'on en redemande.

Mention spéciale à la scène de fin avec Meredith.

Par respect de copyright, je ne ferai pas de copier-coller de l'avis d'Antofhiserb. Mais l'esprit est là, tellement je suis en phase avec lui !

Cette série plane juste joyeusement au dessus du reste...

Les acteurs sont fabuleux, la réalisation parfaite...

C'est malheureux j'ai oublié de laisser un commentaire juste après l'avoir vu et maintenant je ne me rappelle plus de l'épisode. J'ai simplement en mémoire que ca valait au moins un 16. Bref voilà que j'ai assez comblé pour pouvoir attribuer la note que mérite cette épisode !

OMG mais quel pied cette série ! Décidément autant j'avais bien aimé la première saison mais j'avais eu un peu de mal à m'impliquer sauf vers la fin, autant depuis la reprise je savoure chaque instant avec délectation. Et dire que je vois certains commentaires un peu partout qui regrettent que la série ne se soit pas arrêtée à la première saison (et la même chose pour Homeland), alors que c'est tellement bon de revoir les mêmes personnages et le même univers après un temps d'absence.

En tout cas cet épisode est encore un cran au-dessus de la reprise selon moi. On aurait dit un mélange du génie narratif de The Sopranos (notamment au niveau des hallucinations géniales) et de la maîtrise de la tension de The Shadow Line. Quel enfoiré ce fuckin' boss quand il fait une apparition surprise au Congrès, et en même temps quelle fragilité lorsque l'état de sa femme est combiné à sa maladie...

P.S. : je viens de décréter que mon rêve le plus fou serait de voir Kelsey Grammer et Bryan Cranston dans la même série un jour.