Cowboy Bebop
En 2071, l'équipage du vaisseau spatial Bebop voyage dans le système solaire à la recherche de primes. Dans l'argot de l'époque, ces chasseurs de primes sont appelés « cowboys ». La plupart des épisodes tournent autour d'une prime ; cependant, le centre de l'histoire concerne le passé de chaque personnage et ...
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Terminée | Japonaise | 25 minutes |
Science-Fiction, Animation, Action, Adventure, Anime, Western | TV Tokyo, Canal+, WOWOW | 1998 |
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Avis sur l'épisode 1.05
Avis favorable | Déposé le 01 février 2018 à 17:10 |
Un superbe épisode avec une fin sublime, une musique magistrale et un enchaînement de scènes à couper le souffle. |
Avis favorable | Déposé le 19 juillet 2014 à 20:17 |
Et tout d'un coup, parvenu au cinquième épisode, vingt minutes devinrent trop courtes pour Cowboy Bebop ... |
Avis favorable | Déposé le 12 février 2014 à 01:57 |
Après une phase d'introduction de l'univers et l'ambiance de la série déjà fort sympathique, Cowboy Bebop révèle ici tout son potentiel avec cet épisode introduisant son fil rouge. Un épisode juste hallucinant de génie et de maîtrise. Tout y est à fond, l'ambiance, la musique (Rain putain ...), les personnages (Spike putain ...), l'animation (ce violet crépusculaire putain ...), le rythme, le scénario ... La scène de l'église est peut être bien la séquence la plus forte que j'ai pu voir ces dernières années tout média confondu. 7 minutes d'extase pur et simple. Bref, après un démarrage tout en douceur, le train est désormais lancé à pleine vitesse. Et c'est juste génial. C'est peu dire que je suis Impatient de voir la suite, et que j'attends plus encore les retours au fil rouge et les prochaines apparitions de Vicious ... |
Avis favorable | Déposé le 09 octobre 2011 à 18:12 |
Effectivement, cet épisode fait partie de ceux qui marquent pour longtemps. Après 4 épisodes assez légers, changement de registre complet : cette fois, ce sera un drame qui nous sera présenté. Même si je ne pense pas qu'en première vision on saisisse tout ce que Taoby décrit dans son avis légèrement spoilant, on comprend l'essentiel : que Spike, qui nous apparaissait jusqu'ici comme un type nonchalant, a un passé sanglant avec les triades de Mars. Qu'il y a eu une histoire pas claire entre lui, Vicious et une belle blonde. Bref, que sous la belle gueule indolente se cache en fait une âme très sombre et torturée. De façon un peu plus périphérique, on se rend compte également que lui et Jet ne se connaissent finalement pas tant que ça, et que Jet a lui aussi un passé pas très clair qu'il garde pour lui. Mais, même si l'histoire est intéressante, elle est relativement peu originale. Non, ce qui fait la force de cet épisode, c'est réellement sa réalisation exceptionnelle : graphiquement tout d'abord (oui le graphisme c’est mon dada :) ), l'épisode est de très très grande qualité. Il y avait toujours dans les épisodes précédents quelques plans un peu foirés, un peu approximatifs. Ici, tous les plans sont beaux et précis, les personnages expressifs. Faye notamment n'a jamais été aussi belle que dans son costume à l'opéra. Et l'animation n'est pas en reste : même si l'épisode comprend de nombreux plans fixes, quand ça commence à s'agiter c'est du grand art : ainsi, le corps à corps entre Spike et Vicious, quoique très court, est vraiment très bien dessiné et animé. Et puis il y a le choix des plans, les décors somptueux, et la musique omniprésente de Yoko Kanno (béni soit son nom jusqu'à la 13ème génération) qui créent une ambiance tout à fait envoûtante. Bref, cet épisode c'est un condensé de ce que cowboy bebop sait faire de mieux : un scénario un peu léger, mais une réalisation toute en ambiance qui le rend inoubliable. |
Avis favorable | Déposé le 23 mars 2011 à 18:59 |
Bon cette fois on ne rigole plus, la série sort l’artillerie lourde et renverse tout sur son passage. Voici enfin le premier épisode à véritablement traiter du fil rouge, pas de manière explicite mais beaucoup d’éléments se mettent en place. On fait la découverte des dragons rouges, l’ancienne Triade de Spike, de Julia , l’amour de Spike, et de Vicious, Némésis de la série. Encore une fois tout peut sembler s’enchainer trop vite et certains événements peuvent sembler un peu obscurs (l’enlèvement de Faye) mais Watanabe ne prend pas le spectateur par la main, à lui de se démerder. Donc pendant 20 minutes nous avons le droit à une Faye qui exciterait même un zombie impuissant, un Spike qui à plus de classe que Sinatra et James Bond réunis, des décors baroque à couper le souffle, une mise en scènes à en chialer, une animation fantastique, une fusillade qui n’a rien à envier à du John Woo. Et puis surtout une musique qui se rapproche probablement de ce que les sirènes chantaient pour faire venir les marins… Non parce que entre l’ave Maria à l’opéra, les quelques notes de « Waltz for Zizi » entre Spike et Anastasia mais surtout le « Rain » quand Spike entre dans l’église (qui sera joué à mon enterrement) http://www.youtube.com/watch?v=l9_p-nhZXLg&feature=related qui me foutra je pense des frissons même à 80 balais. La série montre que le choix des musiques dans une série est un atout incroyable et ici ça ne se rapproche pas de la perfection mais C’EST la perfection et puis pour la déconne , où pour nous achever (aucune idée) Yoko Kanno nous inflige un Green Bird http://www.youtube.com/watch?v=XJjnbhSTuqQ pour le combat de fin entre Spike et Vicious avec la scène du vitrail, quand Spike tombe et que là, dans son œil de verre nous y voyons son passé avec l’apparition de Julia dans ce vieille immeuble, et que l’on comprend que Vicious et lui ont était amis… … … … C’est plus que magique. J’entends souvent des réalisateurs dire « Je voulais rendre hommage à ce film à travers cette scène ». je pense que si j’avais eu la chance et le talent d’être réal de film, le premier hommage que je rendrais, c’est à Cowboy Bebop et à cette scène, qui est dans un autre genre que les dernières minutes de 6 Feet Under et un moment de grâce, Où quand la musique arrive à être en osmose parfaite avec l’image. Et bien ça donne quelques chose que je n’oublierais jamais. PS : « Je vis dans un rêve dont je ne veux m’éveiller ». Hahah putain Spike, t'est au top ! (Flo c’est pour toi) et tout le dialogue entre Vicious et Spike à la fin, à base de métaphore et de symbole, ça accentue leur relation presque mystique. PPS : Attendez voir les autres musiques, c’est loin d’être fini… |
J'avoue que j'ai mis un peu plus de temps pour m'investir dans l'épisode.
Mais aussitôt qu'on rentre dans la cathédrale avec Spike par contre, quels frissons.