Un avant-dernier épisode sous trip hallucinogène qui m'a évidemment rappeler Bojack Horseman, série qui excellait dans ce genre d'épisodes (toujours placés, comme ici, à un épisode de la fin). Comme BJ, ça fonctionne, au-delà du délire sur Rick Rubin car on condense en 30 minutes toute la saison de Dave et cela fournit un épisode fun et imprévisible, avec des moments étranges (Dave qui mange GaTA, WTF?), mais surtout de très bonnes choses (notamment la discussion où la mère de Dave se transforme en Ally en un champ/contrechamp) et qui culmine lors de la rencontre avec le Dave sans poil et particulièrement moche. 

Moralité de l'ensemble : soyons nous-même et fuck le qu'en dira-t-on. Rien de novateur, certes, mais le message est transmis avec tellement d'emballant (cathartique ?) que j'ai adhéré.