Waouh, ce casting féminin de fou (Naomi Watts, Demi Moore, Calista Flockhart, Jessica Lange et Chloé Sevigny <3) ! Et Gus Van Sant à la réalisation. N'en jetez plus.

Par contre, j'ai été un peu perdu lorsque j'ai compris que la série allait mélanger les époques. J'ai donc recommencé le visionnage en prenant 1968 comme point de repère temporel, soit la scène d'introduction où Truman réconforte Babe après l’énième infidélité de son mari. Une fois cela intégré, j'ai passé un très bon moment avec ce pilote, notamment en suivant le personnage de Truman Capote, avec un mélange de fascination et d'amusement, exactement comme lui le fait avec ces mondaines qu'il côtoie. Bon, le final donne l'impression que la série a déjà raconté le plus gros de son intrigue et laisse craindre que les autres épisodes ne racontent que la vengeance des Desperates Housewives envers l'écrivain, mais je suppute que la série est plus intelligente que ça et en a gardé sous la pédale (aucun jeu de mot homophobe ici, je précise).