Il faudrait faire des recherches, mais je pense que c'est avec Breaking Bad que sont apparus les premières intro d'épisodes décalées ou présentant un flashback sur un des personnages et permettant d'expliquer un comportement.

Ou alors c'est Lost??

Bref, encore un très bon épisode où Sebastian est mis en lumière et où on réalise qu'il est plus proche du père autoritaire et castrateur que du papy bienveillant que le début de saison nous laissait croire. Jeff, une nouvelle fois, dévoile une facette de sa (ses?) personnalité, ici, son côté généreux et philanthrope, mais toujours en proie à des accès de colère terrible. Le rendez-vous amoureux vécue au niveau des pieds était excellent, dommage de ne pas avoir poursuivi l'idée toute la séquence.

Seul reproche : l'idée du nuage en forme de lapin était très bonne, mais pourquoi avoir remis, alors, la chanson de Jeff en bande-son? C'est vraiment trop appuyer l'idée.

Michel Gondry revient faire un tour aux commandes (et ça se voit), Judy Greer confirme qu'elle a une belle poitrine (et qu'elle aime la montrer dans cette série), l'émotion est toujours là (et arrive toujours quand on l'attend le moins) et le casting, Jim Carrey en tête, porte cette série vers des sommets rarement vus à une telle cadence (et aussi, le petit Cole Allen est pas loin de voler la vedette). Youpi. J'aime.