OMGOOOOD

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WELCOME TO THE MACHINE putain, c'était tellement évident mais tellement énorme !!!

Sans ces dix dernières minutes absolument épiques, je n'aurais mis que 14.

L'intrigue d'Elias/Brotherhood m'a toujours barbé donc les passages de Reese au début était assez chiant. Mais enfin, ces deux ennemis sont morts ! Il était temps...

Comme à chaque final, on a le droit aux toujours épiques scènes où, guidées par la Machine, Reese et surtout Root se retrouvent en mode Terminator et qui me foutent toujours autant de frissons. Y'en a pas eu assez, de scènes comme ça dans cet épisode, d'ailleurs...

Mais ce sont bien sûr les dernières minutes avec l'un des meilleurs titres des Pink Floyd en fond sonore qui m'ont mises sur le cul. Bon, à mon avis, les informaticiens qui regardent cet épisode ont dû avoir leur barre de suspension d'incrédulité exploser mais si on ne cherche pas trop à y réfléchir, ça nous donne vraiment quelque chose de grandiose.

Avec une saison réduite à 13 épisodes pour la prochaine, j'espère que la série abandonnera complètement son aspect stand-alone et ne sera qu'une succession d'épisodes dans ce style-là.

Au final, cette saison 4 fut tout de même moins inspirée que la précédente mais cela reste toujours une série plutôt sympathique à regarder.

Je suis content, la Machine était vraiment en danger.

D'ailleurs, j'ai bien aimé la petite discussion.

Malheureusement, c'était évident et prévisible que le duel Elias-Dominic prendrait fin.

Sinon je suis agréablement surpris concernant Samaritain et Shaw dans ce final.

Par contre, le gros perdant, c'est bien Control.

Utilisé dans cet épisode, mais sous-exploité dans la saison.

Bilan : bon épisode, bonne fin de saison, bonne saison.

Pour la saison 5, il serait temps que Fusco soit mis dans la confidence.