Preacher
Au premier coup d’œil, le révérend Jesse Custer n'a rien de spécial. Après tout, il n'est qu'un homme d'Église d'une petite ville, perdant peu à peu ses fidèles et laissant s'éteindre sa foi. Mais il va bientôt avoir la preuve que Dieu existe bel et bien. Et qu'Il est un sacré fils de... Avec sa petite ...
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Terminée | Américaine | 42 minutes |
Action, Epouvante-Horreur, Adventure, Drama, Fantasy, Horror, Mystery | AMC, OCS choc | 2016 |
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Avis sur l'épisode 2.05
Avis favorable | Déposé le 14 septembre 2017 à 21:14 |
Un épisode flashback qui arrive à point nommé et qui raconte beaucoup, Preacher prend enfin le soin d'exploiter pas mal de trous dans son histoire pour développer ses personnages et le résultat est plutôt intéressant. |
Avis favorable | Déposé le 21 juillet 2017 à 10:35 |
C'est en regardant cet épisode en flash-back que j'ai mis le doigt sur un petit truc qui me gênait dans la série : Jesse Custer, le Preacher himself. J'ai toujours du mal à appréhender ce protagoniste, qui m'a toujours paru en 2D, un personnage fonction au détour mal défini, un peu flou. Contrairement à Tulip ou Cass, j'ai beaucoup de mal à m'y attacher. Les flash-backs permettent de lui donner un peu d'épaisseur, notamment lors de la scène glaçante où il frappe son frère pour expulser la colère qu'il a en lui. Donc même si l'épisode n'est pas exceptionnel, il permet de rendre plus vivant le Preacher. |
A nouveau pas mal d'ennui durant cet épisode. Je rejoins complètement Nick sur Jesse. Personnellement, je ne l'apprécie pas. Je trouve beaucoup de ses réactions ridicules, surjouées, voire complètement inappropriées. Après une saison et demie, je n'y suis pas du tout attachée. Si on me dit qu'il meurt dans l'épisode suivant, ça ne me fait ni chaud ni froid.
Alors forcément, un flashback sur son personnage ne m'intéresse pas vraiment. Je n'ai pas trop cru non plus à sa reconversion, qui sonnait plutôt faux. Alors oui, cela permet de connaître son background et de comprendre davantage ses réactions. Mais ça ne le rend pas plus pertinent pour autant.