The Avengers
Chapeau Melon et Bottes de Cuir
Les aventures de John Steed, agent secret au service de Sa Gracieuse Majesté, et de ses coéquipiers successifs.
| Terminée | Anglaise | 52 minutes |
| Espionnage | ITV1, TF1 | 1960 |
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Avis sur l'épisode 4.01
nicknackpadiwakListe des épisodes
Episode 4.01
Voyage sans retour
Episode 4.02
Les Fossoyeurs
Episode 4.03
Les Cybernautes
Episode 4.04
Mort en magasin
Episode 4.05
Le Fantôme du château De'Ath
Episode 4.06
Les Aigles
Episode 4.07
Cœur à cœur
Episode 4.08
Dans sept jours, le déluge
Episode 4.09
L'Heure perdue
Episode 4.10
Meurtre par téléphone
Episode 4.11
La Mangeuse d'hommes du Surrey
Episode 4.12
Un Steed de trop
Episode 4.13
Faites de beaux rêves
Episode 4.14
La Poussière qui tue
Episode 4.15
Avec vue imprenable
Episode 4.16
Petit gibier pour gros chasseurs
Episode 4.17
Maille à partir avec les taties
Episode 4.18
Le jeu s'arrête au 13
Episode 4.19
La Danse macabre
Episode 4.20
Les Chevaliers de la mort
Episode 4.21
Le Club de l'enfer
Episode 4.22
Les espions font le service
Episode 4.23
L'Héritage diabolique
Episode 4.24
L'Économe et le sens de l'histoire
Episode 4.25
Comment réussir... un assassinat
Episode 4.26
Du miel pour le prince
(J'avoue que je vais un peu tricher pour cette série et commencer directement par l'ère Diana Rigg, soit le golden age de la série. Je materai les premières saisons plus tard. Ou pas).
Un générique culte et une scène d'intro incongru (un homme sort de la mer emballé dans un sac plastique et demande sa route à un badaud, on dirait presque du Doctor Who). Puis un plan à la la symbolique très sexuelle (la pointe du parapluie de John Steed appuie sur le bouton de sonnette d'Emma Peel). Enfin les deux parlent de leur prochaine mission en se battant à l'épée et John met un coup de fleuret sur les fesses de sa coéquipière.
La dynamique du duo est évidemment le point fort de ce pilote, tandis que Diana Rigg brille de mille feux, que ce soit ses tenues extravagantes ou son flegme lorsqu'elle est fait prisonnière des méchants. Il y a aussi de beaux plans comme l'homme poursuivit par les chiens sur la plage, en ombre chinoise.
Le reste de l'histoire est moins bandant, assez prévisible (une ville pris d’assaut par de mystérieux méchants qui veulent conquérir l'Angleterre et qui prennent l'identité des gens en place) et cela dure, selon moi, une bonne vingtaine minute de trop.
Mais cette série a un charme très particulier, so british, qui fait tout son charme.