Un épisode généreux et emballant. Tout le tournage est vraiment passionnant, avec Larry, évidemment excellent en loup. De plus, l’épisode présente plusieurs fois des moments drôles, de cet humour un peu vicié cher à Simon (le braquage des chaussures gauches ou le mafieux impressionné par l’arrestation de Larry, car il croit que cela fait parti du film).

La note que je mets est à la hauteur du plaisir que j’ai pris au visionnage.

PS : Je kiffe vraiment la chanson du générique.

Un épisode extrêmement jubilatoire.

Franchement, tout s'emboite parfaitement. Les histoires glissent comme un pinceau sur une toile, les situations jouissives s'enchainent sans une pointe d'incohérence, la maîtrise des personnages de haute volée nous immerge dans leurs relations et, une nouvelle fois, la mise en abyme donne à l'oeuvre une profondeur vertigineuse.

J'ai passé la majeure partie de l'épisode avec un énorme sourire sur la face et l'impression d'être entouré de personnes sincères me faisant passer un très agréable moment.

Et puis ces derniers mots de génie. Non seulement, ils n'attendent même pas l'épisode suivant pour nous révéler ce qu'on attendait depuis le début de la saison, mais en plus la phrase est le reflet exact de ce que le spectateur est censé penser des 59 minutes qui viennent de passer.

Magistral.

Je ne pense pas m'avancer en disant qu'il y'a fort à parier que je sois d'accord avec Altair durant l'ensemble de la saison.

Je suis, tout comme elle, également pressée de voir le film final de Candy (en espérant qu'on puisse le visionner !). D'ailleurs, globalement, j'aime beaucoup cette intrigue. Ce vent de légèreté contraste avec la quête d'Abby et de Dorothy, beaucoup plus sombre.

Pourtant, j'ai bien conscience que cet équilibre instable risque d'être bouleversé dans les épisodes à venir, d'une manière ou d'une autre.

Ahlala c'est vraiment une série magistrale.

Le seul soucis de cet épisode c'est qu'on meurt d'envie de voir le film de Candy :). Ce serait sympa que ce soit un épisode de la saison ou un spin-off !

Et toujours cet équilibre parfait entre le fun de voir un tournage complètement foldingue porté par un casting qui s'éclate, et la réflexion sociétale portée par Abby, qui verbalise ce qu'on avait pu constater pendant toute la première saison : oui, ce ne sont jamais les macs et les clients qui trinquent, mais toujours les filles.

Amusant aussi de voir que l'argent de la mafia sert indirectement à soutenir la cause féministe et homosexuelle à travers Vince, et le porno, la prostitution et les peep show à travers Frankie.

Cette série est vraiment constante dans la qualité, difficile de trouver un défaut tant c'est maîtrisé à la perfection...