Autant la partie concernant le curée et Carmela est un peu longue et pas tres interessente, autant la partie de Tony et sa fille est vraiment passionnante ! Déjà parce que on découvre un peu + sa fille et les question qu'elle se pose sur le vrai job de daron, toute leur discussion est un régal Tony essayant toujours d'esquiver le + possible, et puis biensur toute la partie filature de Tony l'ambiance est vraiment prenante chacun essaye de tuer l'autre, la réalisation est excellente ! et puis ce final tout en douceur entre Tony et sa femme, le gars il vien de buter un gars et se la joue canard avec sa femme " mais chérie ... " c'est ça l'identité de cette série, un gars qui ressemble a tout le monde mais qui a la tete d'un réseau mafieux !!

Si la partie road movie Tony, sa fille et la taupe est très réussi, l'intrigue Carmela et le curée, sans être ininteressant est un peu plus longuette et moins intense. Si tout cela part d'un bon sentiment (permettre aux personnages de respirer), cet épisode est pour l'instant le moins bon de cette saison

Un bon épisode, déconnecté de ce fil rouge qui commence à se dessiner. J'ai beaucoup apprécié la mise en avant de la fille de Tony, qui était un peu trop personnage secondaire à mon gout dans les épisodes précédents. Je regrette l'absence du fils par contre.

Quand à la storyline de Carmela et du Prêtre, je l'ai quand à moi trouvé excellente. Elle n'a que peu d'importance quand au reste du show, mais j'ai beaucoup aimé la façon dont ces deux personnages se battent contre leurs sentiments (un peu exagérés par l'alcool) pour deux raisons différentes. Le jeu des acteurs est parfait, et c'est très divertissant. (Par contre l'envie de gerber du prêtre fait un peu Deus Ex Machina, on aurait préféré un peu plus solennel comme signe divin)

Sans être ennuyante, toute la partie avec Carmela et le prêtre est quand même un peu molle... Mais bon, c'est contrebalancé par l'escapade de Tony et sa fille qui elle est passionnante.

La série avait besoin d'un épisode de ce genre, uniquement centré sur la famille, pour approfondir ses relations.

Épisode un peu plus mou que les précédents.

Celui-ci se centre sur la place de la vérité dans le microcosme de Tony Soprano.

A-t-elle sa place ici ? Quelles en sont les conséquences ?

On se rend compte au fur et à mesure qu'elle a encore moins sa place au sein de sa propre famille que dans son milieu, pour le moins douteux à l'origine quand même.

On voit bien avec Carmela à quel point cette vérité, lorsqu'on accepte d'y jeter ne serait-ce qu'un coup d'oeil, devient lapidaire lorsque tout ce qu'on a bâtit repose sur le mensonge.

L'épisode se termine de façon remarquable avec une citation de Nathaniel Hawthorne : " No man can wear one face to himself and another to the multitude without finally getting bewildered as to wich may be true."