The Twilight Zone
La Quatrième dimension
Nous sommes transportés dans une autre dimension, une dimension faite non seulement de paysages et de sons, mais surtout d'esprits. Un voyage dans une contrée sans fin dont les frontières sont notre imagination. Un voyage au bout des ténèbres où il n'y a qu'une destination : la Quatrième Dimension.
Terminée | Américaine | 25 minutes |
Fantastique, Science-Fiction, Fantasy, Horror, Suspense, Thriller | CBS, TF1 | 1955 |
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Avis sur l'épisode 2.05
Avis favorable | Déposé le 27 janvier 2015 à 19:11 |
Un très bon épisode de TWILIGHT ZONE. J'ai beaucoup aimé la mise en scène, les lumières, l'univers, les acteurs, les personnages, les thématiques et les questions qui y sont soulevées. Le scénario est malin et abouti et les effets de caméra sont vraiment bien maîtrisés. On sent qu'il y a du beau monde derrière, dont Charles Beaumont (rien que ça). Quelle bonne idée de nous faire vivre cette histoire à la première personne. Cela nous rapproche du personnage principal et nous permet de se retrouver dans la même situation de tiraillement que lui. Cet homme qui hurle est-il une victime ou le mal incarné ? Ces hommes sont-ils vraiment des hommes de bien ou sont-ils tout simplement fous et dangereux ? La fin de l'épisode est aussi intelligente que le reste et nous rappelle que le mal est inéluctable et qu'on ne pourra jamais le comprendre et le combattre. Malin, audacieux, passionnants, ingénieux et fascinants... les mots ne manquent pas pour définir l'impression laissée par cet épisode culte. |
Idée de base : un homme perdu tombe sur un monastère tenu par d’étranges hommes habillés comme Charlon Heston dans les 10 Commandements et qui sont persuadés d’avoir emprisonné le Diable en personne, sous la forme d’un homme en haillons enfermé dans une cellule.
L’épisode : Très atypique et à l’atmosphère très différente de ce que propose TTZ d’habitude. On flirte avec les films gothiques à la Dracula. C’est assez perturbant, sans pour autant être formidable de chez formidable.
La chute : un peu bâclé, avec cette nouvelle prison qui ressemble à un placard à balais.