Pareil remplacer carl par henry très mauvaise idée tant celui-ci est insuportable. Et les marraudeurs MDR cette scène.

Je dois avouer que je suis assez fan de l'idée des Maraudeurs, qui se la pètent comme pas possible pour ensuite craquer et devenir les protecteurs du Royaume car Carol leur promet un film. En fait, le jeu d'acteur de Melissa McBride fait absolument TOUT (mais TOUT), avec son petit sourire en disant "a movie?" qui ajoute la touche de second degré nécessaire. Et puis c'est assez original dans TWD de désamorcé comme ça un truc. Et puis avec Alpha, on a déjà un antagoniste dans la saison.

Par contre, justement le combat entre Beta et Daryl, c'est un peu naze et le reste de l'épisode est décevant.

Oui, l’affrontement entre Daryl et Beta est pas mal dans son genre… même s’il est un peu bâclé à mon sens et interrompu de manière un peu trop simple.

Oui, les scénaristes détiennent là une rivalité qu’ils vont pouvoir user jusqu’à la corde, comme ce fut souvent le cas par le passé.

Mais… Mais…

Non, je ne crois toujours pas à l’histoire d’amour entre Henry et Lydia. Ces deux-là m’énervent au plus haut point. Leur histoire est mal amenée et mal jouée, et même lorsqu’elle tente de jouer la carte de la fille partagée entre sa loyauté envers les siens et son amour naissant pour le fils de Carol et Ezekiel, on y croit pas une seconde. C’est juste très maladroit et ça bousille un peu le récit.

Note pour les scénaristes : Décider de virer Carl pour le remplacer par Henry = très très mauvaise idée !!!

Mais le pire du pire de cet épisode, c’est quand même les maraudeurs.

Non mais c’est quoi cette blague !

Le groupe se présente d’abord comme une bande de durs à cuire, ils en font des tonnes autour de leur apparition, et finalement il aura juste suffi à Carol de parler de la possibilité pour eux de voir un film lors de la foire pour qu’ils acceptent de les aider et qu’ils débarquent comme des héros pour sauver Tara et compagnie.

WTF ?

Les scénaristes sont devenus dingues ou quoi ?

Attention, je ne minimise aucunement la force et la puissance de la culture dans l’unification des êtres humains, mais là, le tout est amené avec zéro subtilité. C’est niaiseux au possible…