The X-Files
X-Files : Aux frontières du réel
Fox Mulder est un agent du FBI. Attiré par les phénomènes paranormaux et les croyances parfois irrationnelles, il s'intéresse aux affaires non classées, certaines relevant du paranormal. On lui adjoint une partenaire, Dana Scully, médecin et beaucoup plus adepte de la logique cartésienne. Mulder, obsédé par la ...
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Terminée | Américaine, US | 45 minutes |
Science-Fiction, Suspense, Science-Fiction & Fantastique, Mystere, Crime | Fox, M6 | 1993 |
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Les épisodes centrés sur Skinner n'ont jamais été des franches réussites, un peu à cause du personnage lui-même. Car comme le dit Scully, on ne connaît pas Skinner, on ne sait rien de lui, il est juste un rouage des scénarios que les auteurs utilisent, le faisant passer parfois pour une personne suspecte avec des agissements troubles et des motivations floues ou quand le besoin s'en fait sentir pour le sauveur providentiel et soutien indéfectible du duo selon les besoins.
Et sans être catastrophique (il y aurait pu avoir l'Homme à la cigarette ou William), cet épisode confirme la règle.
Sur la forme, on a une nouvelle droit à un épisode mou, sans énergie, avec des longueurs que Duchovny et Anderson traversent sans conviction. Sur le fond, l'épisode ne vaut que si on ferme les yeux sur les approximations du scénario. Comme l'idée de base qui n'a raison d'être que parce ce que Skinner réagit de manière extrême en désertant de son poste pour aller enquêter. Il aurait poser 10 jours de RTT, cela aurait été aussi bien et l'épisode n'aurait pas existé.
Idem pour :
- Que foutait-il au milieu du bois au moment du premier meurtre où il a été filmé?
- Comment, l'estomac troué, a-t-il réussi à sortir du trou et retrouver au milieu de nul part le méchant?
- Pourquoi le fils de "Kitten" a attendu 30 ans pour décider à massacrer les gens à tour de bras?
- Ok pour que les habitants exposés au produit chimique libéré par les avions (cette idée complotiste, z'étaient vraiment pas obligé) perdent leurs dents. Mais Skinner? Au bout de 3 jours??
Bref un épisode moyen. Et si à la Belle Époque, il existait déjà ce genre d'épisodes mineurs, ils étaient entourés d'autres très bons, on fermé donc les yeux.
Ce qui n'est pas le cas de cette poussive saison 11.