Après, trois épisode bon et assez accrocheur, la série décolle comme jamais et offre ici, le meilleure épisode pour la saison pou l'instant, un certes petit détours scénaristique par rapport à la fin de l'épisode 3 mais tellement maitrisé qu'on en redemande !

Même si on s'éloigne un peu de la promesse du final de l'épisode précédent, il faut quand même avouer que cet épisode est d'une maitrise remarquable. Rarement vu un tel niveau à la télévision.

Bon, ben comme mes camarades, j'ai joui. C'est con et vulgaire de dire ça mais je ne vois pas comment décrire autrement non seulement le plan-séquence final totalement oppressant et parfaitement réalisé, mais aussi tout ce qui précède qui révèle une mise en place psychologique exemplaire dans sa mise en scène et dans son rythme.

Plus que jamais, nos deux flics sont diamétralement opposés dans leurs charisme et comportements, et je pense que ce non-charisme de Woody Harrelson était parfaitement prévu.

Après avoir vu une des scènes les plus tendues de ma vie de sériephile/cinéphile et un des meilleurs épisodes de polar, bien sûr la suite sera à priori plus calme, mais j'espère que les scénaristes en profiteront pour maintenir le cap et la pression jusqu'à la fin. Mais bon comme on dit, pas de temps fort sans temps mort.

Ca déchire, y'a pas grand chose d'autre à dire...

Le plan séquence est de fait totalement dantesque...

Meilleure série de cette année, pour sûr.

Absolument génial. L'immersion est totale et cela nous permet de comprendre un peu plus le comportement de Rust.

La narration commence également peu à peu à prendre du volume et de l'intérêt. Le discours officiel n'a en réalité rien à voir avec les images qui défilent sous nos yeux.

True Detective commence véritablement maintenant à mon sens. Pourvu qu'il ne s'agisse pas d'une fulgurance.

J'adore les plans séquences. C'est comme ça, j'y peux rien. J'adore la "Soif du mal" (Orson Wells) et "le bucher des vanités" (Brian de Palma) pour cette raison précise.

Là, True Detective se place immédiatement sur la même ligne que ces classiques avec ce plan séquence dantesque de 20 minutes. Bon, ils trichent un peu vu qu'il y a une coupe (quasi invisible) au milieu. Mais bordel qu'est ce que c'est bien fait !

L'épisode m'a tout le long fait penser à la construction de la tension chez Breaking Bad (il y a du Son of Anarchy aussi). Sauf que dans Breaking Bad, les jolis plans stylés n'ont absolument aucun sens (juste celui d'être joli). Avec ce 4ème épisode, True Detective montre que la manière de filmer, de l'endroit où tu places ta caméra et de ce que tu en fais a profondément du sens et n'est pas simplement là pour être stylistiquement agréable à l’œil.

True Detective dès son quatrième épisode donne un belle leçon à "la plus grande série du monde" et elle le fait de la plus belle des façons.

Un épisode bluffant et une fin alléchante pleine de tension. Je suis très impatient de connaître la suite qui s'annonce passionnante et intense.

True Detective frappe fort, très fort avec cet épisode. La tension devient presque insoutenable. Cette fin de fou furieux quand même, rarement j'ai assisté à une scène aussi passionnante devant mon petit écran. Je peux affirmer avec modestie que c'est la nouvelle pépite d'HBO et très aisément de l'année.

L'alchimie entre McConaughey et Harrelson est réellement bluffante.

L'ambiance très sombre et réaliste , le rythme méticuleux, la réalisation soignée, l'écriture des deux protagonistes, les dialogues subtils....tout les ingrédients sont réunis pour faire de True Detective une des séries phare de la décénnie.

Impatient de découvrir comment cette enquête va se résoudre.

Quelle claque ! Le meilleur épisode de la série, déjà que les autres épisodes étaient excellents alors là ça atteint un niveau extraordinaire ! Quelle tension en cette fin d'épisode, que tous ceux qui crachaient sur True Detective en disant que c'était trop lent et trop contemplatif aillent se rhabiller. L'épisode commence comme toujours avec cette lenteur hyper maîtrisée en s'attardant cette fois-ci beaucoup sur le personnage de Harrelson, pour finir en éclat. (et encore une fois mais ce n'est pas jamais assez trop de le dire, mais Mcconaughey crève l'écran, il est vraiment fait pour incarner Rust Cohle c'est dingue). Plus ça va et plus je me dis que c'est vraiment LA série de 2014.

La suite promet d'être explosive, l'enquête avançant à grand pas !

Le meilleur épisode jusqu'à présent. True Detective nous met sa première grosse claque. Et on en redemande.

True Detective atteint les qualités d'un Michael Mann pour notre plus grand plaisir.

"You are like the Michael Jordan of being a son of a bitch"