Copper
Dans le New York du 19ème siècle, les aventures d'un jeune flic irlandais cherchant à découvrir la vérité sur la disparition de son épouse et la mort de sa fille. Son amitié avec deux compatriotes de la Guerre Civile, le fils d'un riche industriel et un médecin afro-américain, l'amène à côtoyer aussi bien ...
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| Terminée | Américaine | 60 minutes |
| Historique, Action, Drama | BBC America | 2012 |
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1.05 -
La tempête
La Tempête
11 octobre 1864. Un gang qui projette de voler les familles les plus riches de New York au cours d´une collecte de fonds voit ses plans démasqués. Corcoran doit alors assurer la sécurité de ces familles. La tension monte entre les détectives et leurs supérieurs pendant qu´ils se préparent à protéger l´élite de New York.
Diffusion originale : 08 novembre 2012
Diffusion française :
08 novembre 2012
Réalisat.eur.rice.s :
Jeff Woolnough
Scénariste.s :
Brant Englestein
Guest.s :
Andrew Priestman
,
Geordie Johnson
,
Joanne Boland
,
Jonathan Koensgen
,
Lara Jean Chorostecki
,
Patrick Stevenson
,
Peter Bryant
,
Ryan Allen
,
Sam Rosenthal
,
Sean Bell
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sephja
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Critique : Copper 1.01
BBC America nous livre un nouveau drama historique centré sur les années 1860 aux Etats-Unis, date des débuts de la police, appelée à l'époque les Coppers.
Elisabeth organise une levée de fonds pour les populations noires de la ville et vient demander l'aide des Coppers pour assurer la sécurité. L'occasion d'une intrigue basique sur fond de gangs Irlandais et d'exploiter dans un lieu confiné tous les personnages de la série.
Seulement, comme d'habitude, cela ne prend pas et si l'univers possède une vraie richesse, l'ensemble manque de cette touche d'humour qui donnerait de l'air à la série. Asphyxiante, Copper l'est à tel point qu'on n'a vraiment l'occasion de prendre plaisir à suivre une série qui joue beaucoup trop sur le malaise.
Car le cas Annie pose problème, celle d'une fausse bonne idée qui dure depuis beaucoup trop longtemps, créant un malaise agaçant. Difficile de voir où cherchent à aller les auteurs, donnant le sentiment d'une série qui fait le choix de la provocation gratuite.
A force de chercher à explorer la face sombre d'une époque, les auteurs font dans la facilité et laisse un profond sentiment de dépit. On aimerait s'enflammer, dire du bien, mais même une simple valse parait heurtée, manquant de cette légèreté et de cet enthousiasme qui fait la qualité d'une histoire.