Image illustrative de Doctor Who
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Doctor Who

Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...

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En cours GB 45 minutes
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique BBC One, France 4, Disney+ 2005
13.26

3 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 10.03 - La Foire des glaces

Thin Ice

Bill et le Docteur débarquent à Londres en janvier 1814, au milieu d'une fête organisée sur la Tamise gelée. Tandis que Bill remarque d'étranges lumières sous la glace, un jeune pickpocket s'empare du tournevis sonique du Docteur. Ce dernier est témoin de sa disparition à travers de la glace. En s'équipant de scaphandres, le duo va percer le mystère de la Tamise...

Diffusion originale : 29 avril 2017

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Diffusion française : 29 avril 2017
Réalisat.eur.rice.s : Bill Anderson
Scénariste.s : Sarah Dollard
Guest.s : Nicholas Burns , Asiatu Koroma , Peter Singh , Simon Ludders , Tomi May , Austin Taylor , Ellie Shenker , Kishaina Thiruselvan , Badger Skelton

Tous les avis

Avatar Mmaginère Mmaginère
Rédacteur
Avis défavorable Déposé le 17 mars 2022 à 21:09

Je reprenais espoir et cet épisode est long et ennuyeux. Et encore une pauvre créature exploitée, pffff


Avatar OmarKhayyam OmarKhayyam
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 02 novembre 2018 à 12:20
Spoiler

Un classique négligé, avec Dollard qui frappe chaque rythme pourtant bien tradi’ de ses dialogues acérés et de son puissant sens de la caractérisation. Mais c’est aussi une histoire à la politique très vener et avec du coup beaucoup de coeur


Avatar 4evaheroesf 4evaheroesf
Membre
Avis neutre Déposé le 18 mai 2017 à 03:09
Spoiler

Du réchauffé dans l'intrigue et dans le comportement des personnages.

Heureusement, l'ambiance dans les 14 premières minutes est bonne.

En plus, Capaldi est toujours aussi bon et Pearl Mackie joue bien.

Et plus important, il y a eu Nardole.^^


Avatar dewey dewey
Membre
Avis neutre Déposé le 10 mai 2017 à 00:06

Pas grand-chose à dire sur cette nouvelle aventure en définitive, tant je pourrais copier-coller ma critique du précédent épisode que ça serait quasiment la même.

Les thématiques sont un chouïa de lichette d'un tout petit peu plus creusées que dans l'épisode précédent (et c'est un peu mieux rythmé aussi, mais bon ça c'était vraiment pas dur) mais ce qu'on gagne en grattage superficiel et illusoire de surface on le perd en visuel et en réal, beaucoup moins soignés que les deux épisodes précédents. Et là encore c'est dommage car les thématiques inédites étaient intéressantes sur le papier ...

Pour le reste, c'est des thématiques déjà vues en bien mieux auparavant et sans la moindre valeur ajoutée par rapport aux fois précédentes sur ne serait-ce que le plus petit des détails, et si le duo Docteur / Bill sauve de justesse l'épisode du naufrage, il est cependant en termes de showrunning déjà en train de s'enliser dans une routine qui risque de lui faire perdre de son charme et de son efficacité à plus long terme s'ils ont prévu de tenir toute la saison là-dessus. Toutefois, la jeune femme a cette fois le mérite d'être bien plus active dans l'histoire et tout compte fait cet épisode de ce point de vue là lui aurait constitué une bien meilleure première aventure que Smile ...

Bref, il va falloir penser à appuyer sur le champignon si l’on ne veut pas à terme se retrouver avec la pire saison du show (elle est déjà avant dernière, à peine au-dessus de la 7 et de son catastrophique début à ce stade, mais si ça continue comme ça même elle va la surpasser, car même la saison 7 malgré sa grosse irrégularité et ses nombreuses daubes a su au moins nous sortir quelques très bons épisodes qui seront toujours plus mémorables que ceux-ci). Bill et sa candeur, amenés à se banaliser au fil des épisodes, ne sauveront en effet pas éternellement à eux seuls des épisodes aussi creux que ceux qu’on ait eus jusque-là cette année !

Ah et sérieux, si c'est Missy dans le coffre, quel foutage de gueule ! Et quelle putain d'originalité surtout ...

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Avatar nicknackpadiwak nicknackpadiwak
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 03 mai 2017 à 15:40

Tout pareil que vous les gars : beau départ - des bonnes thématiques abordées puis abandonnées - après 10 minutes de bien puis un scénario linéaire, sans surprise.

Sauf qu'en plus, je me suis endormi.

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Avatar MrZ MrZ
Membre
Avis neutre Déposé le 02 mai 2017 à 12:54

C'était sympa, au début. L'aspect découverte + docteur qui blague + la dynamique Bill-Docteur qui fonctionne toujours parfaitement bien.

Le problème c'est après, on a un remix de plusieurs épisodes (genre Beast Below en premier lieu) sauf que c'est carrément moins bien foutu à bien des niveaux : La thématique, la difficulté du choix à entreprendre (bien torché en deux minutes sans réelle discussion), et même les thématiques externes au coeur de l'épisode (genre le racisme) sont largement survolées.

C'était bof, quoi.

Bon grosse mention positive à Capaldi qui pète la forme et qui est hyper classe dans son costume d'époque.

(et au niveau de Nardouli, qu'ils continuent comme ça : c'est parfait !)


Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 02 mai 2017 à 10:18

Les 10 premières minutes sont chouettos, une fois encore. On aimerait bien continuer à traîner avec le Docteur, Bill et Pete à travers les époques, juste pour le plaisir de chiller.

C'est bien, parfois, de juste voir le Docteur faire le zouave et profiter.

Bref, après y'a un scénar qui apparaît et ça devient nettement moins coolos. Surtout lorsqu'il a déjà été fait en mieux et en plus beau 5 saisons plus tôt.

A la fin de l'épisode, Nardole apporte un thé avec un peu de café dedans. Ça m'a fait rire. J'avais envie de rester poser, là, trankilou, avec eux, à faire des blagues de Nardolos.

Ça aurait sans doute donné un meilleur épisode ...

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 30 avril 2017 à 18:27

Sarah Dollard signe un deuxième épisode classique, avec moins d'idées originales que sa première proposition, Face The Raven (qui avait certes dû bénéficier d'un beau lifting de réécriture vu l'importance de l'épisode dans l'arc de la série).

L'épisode est inoffensif et les décors hyper cheaps (quand on compare à des épisodes autour de la même période comme The Snowmen ou même The Unquiet Dead de la saison 1 on se rend compte de la chute), mais l'histoire est plutôt plaisante, et les morales sont bien menées, ce qui suffit à le rendre très divertissant et intéressant.

Le contexte des foires d'hiver sur la Tamise gelée est plutôt sympa et l'épisode a pour fonction de poser les bases du voyage vers le passé pour Bill. A la manière du précédent, dans cet épisode, Bill se pose les questions essentielles : on avait "qu'est devenue la race humaine ?" dans Smile, on a maintenant "que se passe-t-il si on modifie le passé ?". C'est à nouveau classique et fait sans vraie originalité ou concept intéressant - ce qu'on ne peut pas justifier par le fait que "c'est ses premières aventures, c'est normal que ce soit banal", The Beast Below et The Fires of Pompeii par exemple savaient prendre un tournant beaucoup plus intéressant sur les questions relatives au voyage dans le temps et avaient un contexte bien plus original.

Cela dit, même si ça ne casse pas trois pattes à un canard, c'est joliment écrit. La blague sur le "Pete" par exemple, est très maligne (un compagnon effacé de l'histoire), et des détails tels que Bill qui va sur Google à la fin sont plaisants. Le tout est porté par de bons dialogues ("Your species hardly notices anything"). Toute la première partie de l'épisode où Bill et le Docteur s'amusent est plutôt divertissante, et rappellent à nouveau beaucoup l'ère classique, comme Smile le faisait.

Les critiques du racisme, des inégalités et de l'industrialisation de l'époque ne sont là encore pas nouvelles mais à nouveau portées par de bonnes répliques, surtout de façon plus frontale que la série ne l'a jamais fait je pense. Cela fait plaisir qu'en 2017 elle se permette plus de "polémique" (qui n'en est pas une en soi). Citons le très bon "History is whitewashed" + la vanne sur Jésus, ou le speech assez émouvant du Docteur face au marchand.

DOCTOR: Human progress isn't measured by industry, it's measured by the value you place on a life.

C'est prendre un (grand) pas plus loin ce que disaient des épisodes historiques comme Shakespeare Code sur le fait que l'histoire n'est pas aussi blanche qu'on ne l'imagine, mais qui ensuite n'exploitait que peu souvent le racisme et autres (il y avait tout de même beaucoup d'exceptions comme Human Nature). 

Le scénario du jour est également assez bien lié à cela, puisque la créature se fait exploitée pour obtenir du carburant. Les motivations de l'ennemi sont brièvement exposées et la conclusion manque un peu de génie, mais le tout forme un tableau avec un peu de profondeur comme on est en droit de s'attendre de la part d'un épisode historique, même si pour la deuxième fois de suite, on repassera un autre jour pour être vraiment surpris (on avait vu venir la droite du Docteur au moins 30 secondes avant qu'elle n'arrive).

Fait notable que j'ai en revanche beaucoup apprécié, il s'agit de la première histoire qui pourrait éventuellement se targuer d'être un "pure historical", c'est-à-dire sans aucune intervention alienne dans le scénario (à part celle du Docteur bien entendu)... depuis l'ère de William Hartnell ! Bon, la créature est quand même largement fantastique et joue au final le même rôle qu'un alien, mais c'est déjà un pas dans la bonne direction, car elle est techniquement d'origine terrestre ! Cela aide d'ailleurs à centrer l'histoire sur le contexte historique, à savoir le fait que les méchants ne sont rien de plus que les industriels capitalistes, et que la créature "différente" est exploitée et gentille.

Le dilemme principal de l'épisode autour de "faut-il libérer la bête ?" est largement repris de The Beast Below. C'est presque la même situation, avec un choix entre libérer la bête au risque de faire des victimes mais avec une conscience tranquille, ou la sécurité. L'aspect "mensonge collectif et politique douteuse" en moins, et donc avec une morale plus simpliste... mais pas que.

Le dilemme est, de plus, abordé avec le même angle que Kill The Moon, à savoir : le Docteur qui se positionne en être neutre et qui force Bill à prendre la décision. Sans aller jusqu'au plagiat - car il y a tout de même un élément en plus dans l'équation, le fait que Bill se demande surtout si cela ne va pas complètement bouleverser le présent - l'idée n'a donc rien de neuve. Mais au moins elle montre une forme de cohérence dans le perso de Twelve, qui a appris depuis ses débuts tout en restant le même pragmatique.

Et puis, ces parallèles qu'on tire vers d'autres épisodes, ne rendent pas vraiment justice à Thin Ice. Car en fait, c'est aussi et surtout un épisode plus politique et plus cru, ce qui lui permet de se démarquer. C'est là qu'on se rend compte que l'ère de Capaldi a opté pour des viragues plus matures. Parfois avec des thèmes justes malsains en saison 8, ou du sérieux à toutes les sauces en saison 9, et ici avec deux épisodes de suite assez engagés. Exit la poésie de l'ère Smith et du conte de fée Amelia Pond, on a ici une découverte des aventures sous tous ses aspects sociétaux pour la jeune Bill qui veut s'échapper de son époque.

Bill parvient quand même à s'imposer un peu plus dans cet épisode. C'est désormais certain : Pearl Mackie est une super actrice et donne totalement vie au personnage. Le milieu de l'épisode où elle découvre certains côtés sombres du Docteur est probablement le meilleur passage de l'épisode, typiquement "douzième Docteur" vu la froideur de ce dernier (quoique largement familier et plus ouvert après Clara/River), mais toujours inscrit dans une logique d'aider le plus grand nombre, et où les deux acteurs sont très bons dans leurs rôles. Enfin, Bill challenge un peu le Docteur ! Dommage qu'elle reste encore une fois assez passive dans l'histoire. Son personnage est vraiment attachant.

La scène finale couplée au trailer de la saison me donne envie de trucider la BBC si les deux ont bien un rapport... quelle meilleure façon de gâcher le suspens... J'espère qu'il s'agit d'autre chose.

Du Who très classique dans la forme, avec quelques messages intéressants, pas novateurs dans le fond mais innovants dans la forme, assez pour que l'épisode reste dans les mémoires contrairement à l'humanité qui oublie tout. Bill continue son petit bonhomme de chemin mais j'ai le sentiment qu'il faudra attendre encore quelques épisodes avant de voir la saison décoller.

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Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 30 avril 2017 à 11:13

C'est gentiment inutile, très cheap sur bien des points et ça tourne rapidement en rond.

Ce n'est pas complètement naze cela dit. Les dialogues sont bien écrits et Bill apporte encore de la fraicheur, même si on se tape encore une fois la scène : "Un compagnon découvre que le Docteur n'est pas si gentil". Là je crois que c'est bon, on a fait toutes les étapes une par une introductive à un nouveau compagnon (le tournevis sonique et le papier psychique dans cet épisode). Je ne vois toujours pas l'intérêt d'avoir fait cette dernière saison Moffatienne comme une sorte de relaunch / nouveau point d'entrée de la série. Si la saison 11 nous refait le même coup, ça risque d'être douloureux pour beaucoup de spectateurs.

A part ça, le discours sur le racisme était intéressant mais complètement superficiel (malgré de bonnes répliques : "History is a whitewash") et celui final, était d'après ce que j'ai lu, pompé sur un épisode que je n'ai pas vu. Heureusement que je ne l'ai pas vu du coup.

Un épisode assez dispensable, mais la série en a offert tellement d'autres...

PS : Houlala, mais qu'est-ce qu'il y a derrière cette porte... On se le demande tous....

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Avatar ClaraOswald ClaraOswald
Membre
Avis neutre Déposé le 29 avril 2017 à 21:22
Spoiler

Vraiment pas terrible, le scénario est un gros copié de Kill the Moon sur le fond et The Beast Below sur la forme, la musique était sympa sans plus et la photographie et réal absolument dégueulasses.

Le méchant est hyper caricatural et encore une fois dans cette saison, le scénario est hyper léger et sans surprise.

C'est dommage car il y avait du potentiel avec certains sujets intéressants comme la mort et le Docteur ou les noires à cette époque, mais au final ce n'est qu'effleuré pour ce concentrer sur un remake des deux épisodes cités au dessus.

C'est décevant quand on voit ce qu'avait fait Sarah Dollard pour Face the Raven...

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