Mad Men
Dans le New York des années 60, Don Draper est l'un des grands noms de la pub. Maître manipulateur, il compte dans son entourage des ennemis qui attendent sa chute.
Terminée | Américaine | 50 minutes |
Drame, Drama | AMC, TPS Star | 2007 |
2 avis favorable
2 avis neutre
0 avis défavorable
4.06 - La récompense
Waldorf Stories
La campagne de Don concourt pour une grande récompense. Mais celui-ci sombre de plus en plus dans l'alcool et commet des erreurs que Peggy se charge de corriger. Ce comportement rappelle à Roger comment il a rencontré Don.
Diffusion originale : 29 août 2010
Diffusion française :
29 août 2010
Réalisat.eur.rice.s :
Scott Hornbacher
Scénariste.s :
Brett Johnson
,
Matthew Weiner
Guest.s :
Alexandra Ella
,
Amy Motta
,
Becky Wahlstrom
,
Brent Huff
,
Cara Buono
,
Danny Strong
,
Jay R. Ferguson
,
John Aniston
,
John O'Brien
,
Kevin Rahm
,
Mark Moses
,
Matt Long
,
Michael Yurchak
,
Randee Heller
,
Roger Rignack
,
Tim deZarn
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 31 mai 2016 à 01:57 |
Moins aimé celui là, les flashbacks étaient sympas mais je n'apprécie pas Roger donc forcément, j'ai moins accroché. |
Avis favorable | Déposé le 01 février 2016 à 00:13 |
Episode un poil en-dessous, puisque bizarrement si tous les composantes sont cools, on en arrive à s'emmerder. Je n'ai pas compris pourquoi Don se sent obligé d'engager le cousin de la femme de Sterling à la fin alors qu'il dit lui-même ne pas être obligé de le faire... Reste que voir comment Don a manipulé Sterling pour venir dans l'agence c'est délicieux et ça ajoute beaucoup à l'intrigue. |
Avis favorable | Déposé le 25 mai 2015 à 22:20 |
Un épisode très intéressant! On apprend enfin comment Don a été recruté! La première réaction qu'on a, c'est qu'en effet, Don doit tout à Roger qui l'a recruté. Mais si on regarde de plus prêt le déroulement de ces Flashback et cet ultime sourire de Don dans l'ascenseur, on comprend tout. Don a clairement profité de la situation et de Roger (avec quelques verres), en effet à aucun moment dans le flashback Roger Prononce le: "Welcome aboard". A ce moment la Don ment clairement et ça passe tout seul. Don dans son désir de réussite à tout mis en oeuvre pour entrer chez Sterling Cooper. C'est décidément un personnage difficile à cerner , il à un talent hors du commun, mais son accession à ce poste tient d'un concours de circonstances favorables dont il a su admirablement tirer partie. |
Avis défavorable | Déposé le 29 novembre 2011 à 22:29 |
Les flashbacks sont sympas, le reste de l'épisode c'est que l'on voit depuis l'épisode numéro 1 de la saison numéro 1 : Don qui boit, Don qui sort un slogan, ... pas passionnant tout ça. |
Avis favorable | Déposé le 12 septembre 2010 à 20:25 |
Encore un bon épisode. La SCDP est récompensée; elle semble avoir franchi un palier. La scène des slogans est intéressante : on voit d'un côté tout le talent de Don, et de l'autre son principal défaut, c'est-à-dire l'alcoolisme. Les flash backs sur la rencontre Don-Roger sont vraiment réussis. C'est assez comique, mais Roger a tout de même raison : Don lui doit tout. Et le parallèle avec Don qui se trouve obligé d'engager le jeune de la même manière que Roger l'avait fait avec lui est significatif : Don a pris la place de Roger. Et qui sait si dans quelques années le jeune ne sera pas à la place de Don. Burt disait qu'il trouvait que Mad Men manquait d'identité car elle parlait de trop de thème à la fois. C'est sans doute vrai. Personnellement je trouve surtout que Mad Men parle de la vie. La vie d'un publicitaire dans les sixties, évidemment, mais la différence n'est pas si grande. De toute façon, une vie est une vie. En tout les cas, l'abordage du thème du vieillissement est totalement réussi. Don n'est vraiment pas au mieux malgré son coup d'éclat dans l'épisode précédent; et le développement de l'agence est de plus en plus efficace. Tout cela prédit du bon. A vrai dire, connaissant Weiner et sa troupe, je n'ai pas trop de craintes. |
Un épisode parfois difficile à regarder tellement Don a des problèmes d'alcoolisme.
Mais les flashbacks sont hyper bons, Peggy et Stan font beaucoup rire et Pete s'affirme à nouveau comme l'insupportable être humain qu'il est réellement.