Image illustrative de Sherlock
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Sherlock

Les aventures modernisées du plus célèbre des enquêteurs : Sherlock Holmes et de son ami et assistant, le Dr Watson. Un remake vivant et drôle du classique de Arthur Conan Doyle revisité par Steven Moffat.

Terminée Anglaise 90 minutes
Policier, Crime, Drama, Suspense BBC One, France 4 2010
14.03

8 avis favorable
0 avis neutre
0 avis défavorable

Image illustrative de l'épisode 4.03 - Le dernier problème

The Final Problem

Long-buried secrets finally catch up with the Baker Street duo. Someone has been playing a very long game indeed and, alone and defenseless, Sherlock and John Watson face their greatest ever challenge. Is the game finally over?

Diffusion originale : 15 janvier 2017

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Diffusion française : 15 janvier 2017
Réalisat.eur.rice.s : Benjamin Caron
Scénariste.s : Steven Moffat , Mark Gatiss
Guest.s :

Tous les avis

Avatar Manoune398 Manoune398
Rédacteur
Avis favorable Déposé le 17 mars 2021 à 15:36

Un dernier scénario sombre et sadique qui met les trois hommes de la série face à leur dernière grande épreuve. J'ai aimé beaucoup de choses : l'imprévisibilité d'Eurus, le dénouement, l'avion et Redbeard. Les révélations sont cohérentes et fonctionnent très bien. La partie avec John dans le puits aurait cela dit pu être évitée, pour laisser plus de place à Sherlock et Eurus. J'ai eu plus de mal avec Moriarty, en tout cas son utilisation un peu poussive (surtout après le suspense de la fin de saison 3).

Les dernières minutes sont peut-être un peu trop rapides, mais le concept est bon, je trouve que ça correspond parfaitement à l'esprit de la série tout en restant simple. C'est relativement ouvert, comme fin, mais en même temps ça clôture la série telle qu'on la connait, donc ça me va tout à fait. J'ai été prise dans l'ambiance, dans le scénario, dans les personnages et cette dernière affaire offre une intensité à la hauteur d'un final de série.


Avatar Gizmo Gizmo
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 23 janvier 2017 à 10:49

The Final Problem est loin d’être la conclusion parfaite tant attendue. Thématiquement très travaillé, porté par des comédiens toujours inspirés, divertissant et parfois haletant, l’épisode laisse pourtant un goût amer, la sensation que la série s’est égarée en route, trop centrée sur elle-même pour réussir à avoir le recul nécessaire sur ses forces et ses faiblesses. Sherlock nous a toujours offert de belles fulgurances, et la série marquera sans doute durablement l’histoire de la télévision. Mais il manquait dans cette dernière saison la rigueur et l’intelligence de ses débuts. Un peu de contexte, en définitive.

La suite dans ma critique


Avatar elpiolito elpiolito
Administrateur
Avis neutre Déposé le 23 janvier 2017 à 10:34
Spoiler

Mouais, encore une fois c'était très long et très vide, que des effets de manche avec des trous dans le scénario complètement aberrants et des twists complètement gratuit.

Cette tentative de rattacher tout ce qui s'est déroulé dans la série en une seule origine est de plus complètement bancale et pas forcément utile.

Il y a quand même un certain rythme à l'affaire et quelques passages pas trop déconnant pris individuellement qui sauvent un peu l'ensemble mais pour un season final, c'était quand même du grand nawak.

Quant à Mary, elle devait bosser dans la section "caméra" de la poste pour avoir fait autant de vidéos qui sont envoyées pile au moment qu'il faut, même 15 mois après sa mort....

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Avatar Galax Galax
Administrateur
Avis favorable Déposé le 17 janvier 2017 à 22:45
Spoiler

Fin de série pour Sherlock ?

Je me doutais que ce final n'allait pas pouvoir égaler le niveau chef d'oeuvresque de The Lying Detective, et ça n'y manque pas, puisque même s'il nous offre d'excellentes scènes, il est bourré de défauts, car il veut trop faire trop vite.

Le show semble prendre un à un tous les éléments obscurs des 4 premières saisons et apporter un semblant de conclusion. Sur bien des points, la boucle semble bouclée. Même l'une des seules lignes de Lestrade de l'épisode sur Sherlock qui n'est pas un homme "great" mais "good", fait écho à une réplique du pilote :

"Sherlock is a great man.. and someday, if we're very lucky, he might even be a good one". Greg <3

... Sauf qu'il y a trop de choses. Prenons Moriarty par exemple. Forcément, il se devait d'apparaître dans cet épisode final, car la série n'a jamais su survivre sans lui et c'est bien dommage... Bon, Andrew Scott était plutôt cool dans l'épisode (la scène de l'hélicoptère est géniale), je dois bien l'avouer, moi qui n'adore pas son jeu - il faut dire qu'il n'a pas l'occasion de gesticuler et hurler comme un dingue donc ça aide. L'idée de relier son histoire avec celle d'Euros aurait pu vraiment donner quelque chose de très bancal, sur le papier je n'étais pas confiant, j'avais évoqué mes doutes dans mon avis précédent. Pourtant le résultat est plutôt limpide dans l'ensemble, c'est intelligent de lier ces deux "génies du mal" ensemble et peut donner plus de corps à l'intérêt croissant de Moriarty pour Sherlock. Ah et aussi, je suis surtout content de voir que la série n'a pas cédé à la facilité de le faire ramener d'entre les morts, n'en déplaise à certaines théories de fans.

Mais c'est pas comme s'il était essentiel à l'épisode non plus. Et puis le coup des "5 minutes pour tout préparer", Sherlock relève l'incohérence mais ne revient plus dessus, j'ai pas tout compris.

C'est un petit "mais" pour autant de bonnes qualités à l'utilisation de Moriarty, mais n'empêche que c'est le cheveu dans la soupe qui diminue l'efficacité du reste.

Et c'est pareil pour tout l'épisode.

Par exemple : tout du long, l'épisode abuse de trop d'excentricités dans ses scènes plus terre-à-terre et ça ne fonctionne pas. L'explosion de l'appart, servait à quoi exactement ? L'idée de faire de Mycroft un client était cool et suffisait ! Les premières minutes dans la maison de Mycroft, étaient-elles nécessaires ? (réponse : non). La volonté de donner de la forme et un ton un peu solennel mais épique à ce "problème final" a pris trop d'importance.

Pareil ici : c'est con que ces 2-3 scènes stupides et déconnectées du reste existent, car le scénar autour de la prison et donc de la majeure partie de l'épisode est très bien pensé : le jeu pervers à la Saw est créatif, il y a quelques très bonnes idées. Le coup de la vitre où tout le monde s'est fait berné est plutôt cool et encore très bien amené par le montage. Si le script se la pétait un peu moins au début, l'épisode aurait été plus efficace.

Fort heureusement pour ce dernier, The Final Problem tourne autour d'Euros, et Euros arrive à être un personnage qui, malgré le très peu de temps d'écran si on fait le bilan de toute la série à l'heure actuelle, parvient à unifier l'épisode et lui apporte ses meilleurs moments là où il faut. Elle captive immédiatement l'attention, tant son ombre semble planer sur tout ce qui est important dans la série. Bon, qu'on ne se le cache pas, c'est évidemment en énorme partie grâce à une Sian Brooke absolument hypnotisante qu'Euros arrive à marquer. En plus d'avoir joué tous ses rôles au début de saison et berner tout le monde, ce qui était déjà fantastique, elle montre peut-être son meilleur jeu quand elle incarne la véritable Euros particulièrement dans sa fragilité (chose qui manquait peut-être aux autres méchants de la série comme Moriarty, un peu d'humanité). Juste regardez ses yeux lorsque Sherlock la prend dans les bras dans la maison, c'est ouf ce qu'elle transmet. De quoi faire de cette dernière la parfaite figure de la "méchante ultime" pour la série.

Euros représente le génie "Holmes" à son état le plus élevé mais qui du coup a été perverti et comme dit Sherlock à la fin, s'est "perdu en chemin". Cela fait écho à la série dans son entièreté mais surtout à l'épisode précédent qui présentait un Sherlock moins rationnel et qui embrassait ses faiblesses (=émotions) pour malgré tout surpasser ses adversaires. Ce qu'il fait à nouveau lors de la conclusion. Mettre en parallèle Euros, Sherlock et même Mycroft tout au long de l'épisode est un véritable plaisir, toutes leurs personnalités ressortent en situation de crise, Sherringford agissant comme un vrai point de chute pour tous les personnages et thématiques jusque là.

C'est grâce à ça que la réconciliation finale entre Euros et Sherlock marche bien. Au bout du compte, les motivations d'Euros sont justifiées et ne tombent pas du ciel. On pourra critiquer l'aspect classique de l'idée ("elle voulait juste un ami"), mais en même temps ça ajoute de la profondeur à ce personnage par rapport à bien d'autres, et il est plutôt logique que la folie d'Euros trouvait ses raisons quelque part, tout comme la froideur de Mycroft ou de Sherlock ne sont que des façades. Les actions d'Euros masquaient un manque et une solitude extrême, que Sherlock a déjà failli subir et peut donc tout à fait comprendre, et est prêt à pardonner... (là où son frère l'a simplement enfermé).

Bref j'ai beaucoup aimé toute l'histoire d'Euros en général (le très bon twist sur Redbeard inclus) et son rapport avec Sherlock. Cerise sur le gâteau, tout le passage de la "conversation violon" qui suit est magnifique et vient superbement conclure son personnage.

Le problème : c'est que la fin est beaaaucoup trop rapide. Ce final manquait de temps et enchaîne les maladresses dans son dernier acte, ce qui est très frustrant. L'exécution dans le climax est donc maladroite : j'ai aimé la métaphore que représentait la fillette de l'avion, puisque ça justifie beaucoup de choses de l'histoire avant cela, mais le coup du puits ? Juste too much. Le parallèle John/Trevor n'était franchement pas nécessaire, Sherlock aurait largement accepté de jouer au jeu de sa soeur rien que pour tenter de sauver la fillette (implicitement : de la sauver elle). Pas besoin d'un Watson en détresse pour ça... Cela aurait même permis une fin encore plus "intimiste" et personnelle entre Sherlock et sa soeur.

Typiquement d'énormes qualités à l'intrigue d'Euros et à tout ce final mais encore une fois, ternie par une fin bâclée qui vient fortement réduire l'effet souhaité (sans pour autant ruiner son personnage non plus loin de là, mais bon).

Après, même si certaines scènes laissaient un goût amer en bouche, j'ai tout de même :

1) été emporté par l'épisode,

2) beaucoup aimé (cette fois sans aucun défaut atténuant) tout ce qui est fait autour des personnages.

L'aspect génial de la backstory du final, c'est que ça explique le mur que Sherlock a instauré lui-même entre son esprit rationnel et son esprit émotif. "The Final Problem" plonge ses racines loin, très loin dans ce qui définit nos personnages, et apporte enfin une réponse à une question qu'on était tous en droit de se poser et que Mrs. Hudson avait formalisé dans le 2.01 :

"He's Sherlock. How will we ever know what goes on in that funny old head ?"

Derrière la tirade très/trop scriptée (d'ailleurs présente dans le trailer...) de Mycroft sur le fait que toutes les actions et décisions de Sherlock sont les restes de sa mémoire d'Euros, on trouve en fait quelque chose de vraiment intéressant sur le personnage de Sherlock. Certes l'aspect "tout est un trauma d'enfance" peut être critiqué, mais allons, on savait bien depuis le début que l'enfance des frères Holmes avait été tumultueuse, sans avoir plus d'explications. Tout conduisait à ça, rétrospectivement, toute l'attitude de Mycroft paraîtra tomber sous le sens.

Et que l'histoire des personnages s'inscrive dans quelque chose de fondamentalement aussi simple ("elle voulait un ami") colle tout à fait avec le crédo de la série : derrière des mystères impossibles il y a toujours une vérité justifiable. Non, la révélation sur Euros et le trauma de Sherlock n'a rien d'absolument exceptionnellement intelligent ou autre, c'est une histoire quasi banale qui révèle que nos personnages sont beaucoup moins différents qu'on ne le pense et sont, au fond, seulement humains - un gros thème de cette saison voire de la série, notamment dans le 2.01 avec le "I Am Sherlocked". Et bien évidemment l'épisode précédent, qui se concluait carrément par "We're all humans".

On est tout pile dans ce que j'adore que la série aborde, l'humanité des personnages. Il faut vraiment revoir les premiers épisodes de la série pour se rendre à quel point toutes les scènes avec Sherlock, Mycroft ou John montrent que leurs liens ont évolué. Cela s'est fait progressivement, sans jamais qu'on ait la sensation que nos personnages ne sont plus les mêmes, toujours en nous donnant l'impression qu'on n'a fait que dévoiler une facette qui a toujours été là. Et même si certains procédés pour en arriver ont été de qualité inégale, parfois géniaux (les rôles d'Adler, de Moriarty qui ont fait évoluer Sherlock), parfois trop poussifs et voyants (Mary...), le résultat est à la hauteur et offre une vision complète et complexe de la figure de Holmes.

Sherlock lance 2-3 répliques révélatrices dans l'épisode, qui a le bon goût de ne pas du tout les souligner, afin de montrer un Sherlock qui a maintenant totalement approprié certaines choses :

Avec John : "This is family" "That's WHY he stays"

Avec Mycroft : "He did his best"

La remarque de "Greg" également s'inscrit là-dedans, etc.

Dans la série, au début complètement insensible au genre humain, voire méprisant, Sherlock est progressivement amené à respecter les sentiments et admettre leurs utilités tout en maintenant qu'il s'agit de faiblesses, avant de devenir un homme profondément attaché (et donc attachant), sachant montrer de l'empathie envers les autres et la provoquer chez nous. Les tentatives de Sherlock d'être un peu plus "humain", source de blagues inépuisables, se font plus rares (mais n'ont pas disparu non plus, la transformation du personnage n'est pas radicale) et à l'image de son arrivée sur le bateau, on ne voit plus seulement que Sherlock "le détective" mais également Sherlock "le pirate" (la scène marche d'ailleurs bien pour ça malgré son excentricité). C'est vraiment cool.

Si la série arrive bien à nous sortir la saison 5 un jour comme ses créateurs/acteurs le souhaiteraient, les voir tenter des résoudre des enquêtes à nouveau à un rythme normal tout en prenant en compte ce que tous les personnages ont subi et comment ça les a changé, pourrait être un véritable défi, mais livrer une vision encore plus intéressante du personnage de Holmes et amener un vrai parallèle avec la saison 1. Quoiqu'il en soit j'apprécie beaucoup le fait que l'épisode se livre au défi très périlleux de disséquer autant ses personnages, et même s'il semble que beaucoup de gens auraient préféré un épisode avec une enquête à Londres fomentée par Moriarty qui a trompé sa mort et confronte Sherlock, pour moi c'était scénario catastrophe et je salue l'approche bien plus profonde de The Final Problem en dépit de tous ses défauts. Si la saison 5 part dans la bonne direction, elle aura de très bonnes bases.

D'ailleurs, le retour au statu quo final est appréciable pour la série, qui a auparavant constamment terminé ses saisons sur un cliff, et était déjà amorcé par le précédent épisode. C'est fait trop rapidement encore une fois et c'est dommage cela dit. Le montage final n'aurait pas été là dans n'importe quel épisode qui n'envisage pas d'arrêter la série ici. Il sonne trop définitif inutilement, car ce final laisse tout de même quelques loses-end : l'excellente scène avec Molly adresse enfin un non-dit dans la série et encore une fois revient - certes avec un procédé un peu gros mais logique dans le plan d'Euros - sur le coeur de la relation Molly/Sherlock... cette scène donc, n'a pas de suite dans la fin et c'est frustrant. Malgré cela le montage fait son effet.

Et ça résume un peu tout l'épisode : on aurait pu avoir un excellent final, dont tous les bons développements et idées n'auraient pas été atténués par quelques éléments frustrant voire purement stupides. Mais "malgré" cela, ses maladresses et son trop-plein de choses abordées ne suppriment pas tous les meilleurs aspects de ce final, qui prend des partis-pris sûrs de diviser mais qui offre tout de même une belle finalité à l'esprit de la série.

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Avatar MrZ MrZ
Membre
Avis défavorable Déposé le 17 janvier 2017 à 00:24

Je n'aime pas mal noter cette série. C'est la première fois que ça m'arrive en fait (même si de mémoire je l'ai jamais notée sur ce site)

Mais là, cet épisode m'y oblige.

En résumé, je me suis glorieusement fait chier.

Tout tourne autour d'une méchante absolument invincible avec un méga super pouvoir et qui montre durant une heure et quart à quel point elle est méchante et folle.

Et à part ça, tout n'est que twist qui ne marche absolument pas, faute à une mise en scène qui n'a absolument aucun impact. Nulle part, jamais.

On prend en plus tous les noeuds dramatiques qui s'avèrent être écrits avec des fils d'une largeur suffisante pour péter les genoux de plusieurs spectateurs d'affilée en une seule fois.

C'est prévisible, ça ne marche pas, pas une seule fois durant cette putain de longue heure et demie.

C'est dommage parce que c'est la première fois que je ne ressens absolument rien devant un épisode de Moffat.

Il se passe quoi ? Le Big M est fatigué ? Est-ce l'association Motiss qui a pris seulement le pire des deux scénaristes ?

Est-ce qu'ils avaient envie de l'écrire depuis le départ, ce dernier épisode ?

J'en sais rien. Mais la seule conclusion que je peux avoir restera la même que mon introduction : Je me sis fabuleusement fait chier.

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Avatar Koss Koss
Rédacteur
Avis neutre Déposé le 16 janvier 2017 à 20:09

Mon dieu, mais cette fin de fanfic ^^ La roue libre totale de Moffat sur la (non)-fin de son œuvre. Bordel.

Comme les deux épisodes précédents, tout tient sur une idée :

1) Épisode 1 : La mort de Mary

2) Épisode 2 : Sherlock a une sœur (!)

3) Épisode 3 : Sherlock a un frère caché que sa sœur caché a tué (!!)

Venez pas me dire qu'on n'est pas dans un fanfic sérieux :) Y'avait-il besoin de faire 1h30 à chaque fois sur des idées aussi débiles ?

Sans déconner, on se croirait vraiment dans Spectre où Sam Mendes invente un demi-frère à Bond, en recollant les morceaux avec le passé (les films d'avant) de la manière la plus pétée qui soit, avant de torturer Bond dans un jeu "à la Saw". L'inventivité est à son maximum. Et puis merde, pourquoi on est à chaque fois obligé de passer par le trauma d'enfance ? Pourquoi c'est une sorte de passage obligé dans nos sociétés judéo-chrétiennes ? Les scénaristes ont-ils si peu d'imagination ?

Au moins, ce n'était pas ennuyant comme les deux d'avant, donc rien que pour ça, ça en fait le meilleur épisode des trois. Mais ouais, dieu que c'était encore ultra bavard, avec des failles scénaristiques à la pelle et globalement débiles.

J'suis chaud pour la saison 10 de Doctor Who, Meuffat, tu peux me l'envoyer.

24 réponses
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Avatar ClaraOswald ClaraOswald
Membre
Avis favorable Déposé le 16 janvier 2017 à 02:19

Bon bah voilà Sherlock c'est fini... pour un bout de temps et ça sucks que la série soit aussi lente à produire.

Un un de frustration devant un épisode excellent.

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12.71

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