Suite aux mesures de distanciations sociales, l'introduction de ce nouveau numéro du Vrickavrack est annulée.
Le Fonz du mois : Tony Soprano
Avis très favorable |
Avis favorable |
Avis neutre |
Avis défavorable |
Sommaire :
- A Million Little Things
- A Teacher
- Bodyguard
- Des trains pas comme les autres
- Dix pour cent
- Doctor Who Special
- Grey's Anatomy
- Intelligence
- Lupin
- Mom
- Monsterland
- No Man's Land
- Raised by Wolves
- Ratched
- Scènes de ménages
- The Crown
- The Mandalorian
- The Queen's Gambit
- This Is Us
- Truth Seekers
- Vikings
- WandaVision
- Zoey's Extraordinary Playlist
A Million Little Things - saison 3
Mmaginère : Ils ne savent plus trop quoi raconter, donc ils nous disent des choses ennuyeuses. Je pense sincèrement que cette saison de A Million Little Things sera la dernière pour moi. Bouh spécial à Rome et Regina, sans leur complicité, la série est trop nulle ! Avis défavorable
A Teacher
Mmaginère : Belle surprise, cette série en une saison. L’histoire a déjà été vue et revue, mais la manière dont c’est joué, filmé et décrit est assez intéressante et inattendue sur certains points. Le jeu des acteurs principaux est vraiment impeccable, on ressent toutes les étapes de leurs histoires via un ascenseur émotionnel. J’ai trouvé certains points pénibles et longs, mais de manière générale, c’est une bonne série. Il devrait y avoir plus de séries mieux travaillées sur une saison. Avis très favorable
Nick : C'est son affiche qui m'a amené à A Teacher, une affiche très troublante. Et c'est bien ce que j'ai trouvé dans la série dans un premier temps : un mélange de candeur romantique et de parfum d'interdit, incarné par des épisodes courts et intenses et un duo d'acteur/actrice au top. C'était bien fait, parfois touchant, un peu excitant et déroutant. Puis le final a giclé avec l'effet d'une gifle sèche sous une douche écossaise.
Car oui, je l'avais oublié en la regardant, aveuglé par l’empathie pour Claire, mais A Teacher n’a rien de romantique, elle raconte une histoire d'abus sur personne mineure et que ce genre de tragédie laisse des traces indélébiles chez sa victime, même s'il s'agit d'un adolescent de dix-sept ans. Les cinq dernières minutes via une discussion sortie avec les tripes le rappellent violemment, avant que la série nous quitte brutalement, comme Eric le fait en claquant la porte du restaurant et nous laisse hagard et sans repère.
Passionnante puis perturbante, A Teacher m'a scotché devant mon écran. Avis très favorable
Bodyguard
Elpiolito : Un ancien soldat avec un petit syndrome post-traumatique se voit chargé de protéger la ministre de l’Intérieur britannique. Pas de Whitney Houston ou de Kevin Costner ici, mais une mini-série de six épisodes assez directe et intense, qui offre des moments de folie et de tension extrême hallucinants. Presque à chaque épisode, Bodyguard arrive à ménager des séquences qui m’ont scotché au canapé, à l’instar de son ouverture magistrale où le héros doit contrer un terroriste dans un train. Dommage toutefois que l’intrigue autour soit un peu pauvre et un peu trop remplie de faux-semblants et de fausses pistes : on finit un peu sur sa faim malgré quelques twists intéressants. Mais rien que pour ses séquences de tension, la série vaut le coup d’œil. Avis favorable
Des trains pas comme les autres - saison 10
Elpiolito : Pour ses dix ans, Des trains pas comme les autres s’est offert un épisode rétrospective qui promettait des inédites, des réponses à des questions, des "behind the scenes", bref, la mise à nue. Au final, on a juste une compilation de divers moments agrémentés de quelques anecdotes de Philippe Gougler. Pas de vrai making-of, même pas une petite photo des équipes qui l’accompagnent. Intéressant pour ceux qui ne connaissent pas et veulent un condensé mais sinon, c’est plutôt dispensable. Dommage, il y avait de quoi faire un épisode intéressant. Avis neutre
Dix pour cent - saison 4
Koss : Une très belle fin, qui m'a ému, tandis que la lumière s'éteignait sur ce groupe de personnages vraiment attachants. À défaut de dresser un portrait fidèle du monde de la fiction, le show est parvenu à montrer la fiabilité et la faisabilité de la réussite d'une fiction française à l'international. Et ça, c’est sans doute la plus belle des victoires. Avis très favorable
Marie-Louise : Joli clap de fin pour Dix pour cent. Une conclusion douce amère, qui a réussi à mettre un terme à presque toutes ses intrigues, même s’il aura fallu parfois fermer les yeux sur la cohérence de certaines d’entre elles ou faire l’impasse sur l’approfondissement de certains personnages (Hicham en tête, suivi de très près par Arlette). Mais le plaisir de retrouver une dernière fois nos agents préférés nous aura fait oublier ces quelques faiblesses. Avis favorable
Nick : Je vais être moins enthousiaste que Marie-Louise ou Koss. J'ai trouvé cette dernière saison un peu trop sage, et à part Sandrine Kiberlain excellente, les autres guests n'ont pas été inoubliables, les arcs narratifs des personnages ont mis beaucoup de temps à redémarrer, quand ils n'ont pas été figés par une forme d'immobilisme (en plus d'Hicham et Arlette cité·e·s au-dessus, je trouve que Camille n'apporte plus grand-chose depuis la première saison et que la pauvre Sofia n'a eu que son amourette avec Gabriel à se mettre sous la dent). Heureusement, Noémie et Hervé ont comme toujours été au top. Bref, si j'ai aimé la fin douce-amère, je me suis poliment ennuyé devant cette ultime saison. Avis neutre
Doctor Who Special : Revolution of the Daleks
Galax : Les fans déçus des débuts de l’ère de Jodie Whittaker peuvent se rassurer : il est bien loin le temps où les épisodes de la Docteur actuelle étaient ennuyants à en mourir et dénués de toute mythologie. Le dernier épisode en date du nouvel an est dans la même veine que la saison qui le précédait : ultra-référencé, festif et pensé pour faire plaisir aux fans, tout en secouant la formule sur certains points. Si ce spécial est annonciateur de ce qui nous attend pour la future saison en 2021, on peut embarquer sans souci sur le train de la hype. Ce "nouveau nouveau Doctor Who" n’est pas dénué de défauts, mais sa direction saura au moins reconquérir une partie de l’audience. Avis favorable
Nick : Je vais être moins enthousiaste que Galax. Personnellement, j'y ai vu un épisode écrit en pilotage automatique qui ne fait que poser des idées (la Docteur en prison, le retour de Jack Harkness, les Daleks comme métaphore des excès répressifs policiers) pour ne rien en faire derrière. L'unique bonne chose de ce special est le départ définitif de Ryan (pire compagnon depuis bien, bien longtemps). Avis neutre
Grey’s Anatomy - saison 17
Mmaginère : Ma passion pour Grey’s Anatomy continue malgré l'omniprésence du Covid. Cette saison est puissante, bien écrite et les personnages sont au mieux de leurs formes. J’ai hâte de voir la suite (seulement en mars, snif !). Il n’y a que la partie Teddy qui continue de pire en pire. Le reste est drôle, touchant et triste. Nous passons par toutes les émotions, comme toujours dans cette série. Avis très favorable
Intelligence
Nick : Intelligence est con. Et drôle. Opinion impopulaire : le Friends qui me faisait le plus rire a toujours été Ross. C'est donc avec plaisir que j'ai retrouvé David Schwimmer dans le registre comique et il n'y a pas à dire, il y est excellent. Sur un postulat hyper-classique (un personnage prétentieux et odieux débarque dans une équipe de bras cassés), la série écrite par Nick Mohammed (qui joue le candide Joseph, sidekick de Jerry, avec qui il forme un duo hilarant) m’a souvent bien fait marrer. Et en plus, c'est court, à peine six épisodes de vingt minutes. Pourquoi se priver ? Mais, regardez-moi ces deux crétins, comme leur débilité est communicative. Avis favorable
Lupin
Koss : Lupin est l’adaptation et la transposition au 21e siècle de l'œuvre de Maurice Leblanc par Netflix. Quand j’étais petit, j’adorais lire Mickey Enigme dans Mickey Parade. L’ami Mickey résolvait des enquêtes (souvent contre le fantôme noir) en faisant participer le jeune lecteur que j’étais. Visiblement, le showrunner George Kay les a aussi lus. Le scénario est archi débile, avec un nombre de trous scénaristiques assez hallucinants et c'est assez mal joué dans l'ensemble (sauf Omar Sy qui se donne beaucoup). Mais, par une espèce de magie, cela reste assez agréable à suivre, avec ce côté page turner assez prenant. Plus de scénario, plus de bons acteurs pour l’an prochain et on est bon. Avis neutre
Mom - saison 8
Mmaginère : Malgré le départ d’un personnage phare,
Christy, Anna Faris ayant décidé de quitter la série,
Mom continue sur sa lancée grâce au talent incroyable d’Allison Janney et des actrices secondaires qui composent la bande. Sans oublier les quelques hommes qui les secondent. Cette série est toujours aussi pétillante, amusante et touchante. Avis très favorable
Monsterland
Nick : Monsterland parle de monstres, jusque-là, vous n’êtes pas surpris. Mais ici, les monstres les plus effrayants ne sont pas ces tueurs en série polymorphes ou cette ombre qui hante un ado dans sa chambre. Non, les plus terrifiants sont humains, ce sont les enfants fous engendrés par le Capitalisme, toutes ces personnes abandonnées au bord de la route de la société de consommation qui sombrent dans l’immoralité et l’horreur. C'est avec cet angle de vue politisé que Monsterland se démarque du lot des séries anthologiques d'horreur. Abordant de surcroît des thèmes glaçants (la pédophilie dans l'épisode 3), la série choque et secoue son spectateur. Avis favorable
No Man's Land
Nick : No Man’s Land est une très bonne série française dans laquelle on suit Antoine, parti chercher sa sœur en Syrie où elle combat Daesh. Aidée par une interprétation au top, la série est immersive et intense, on sent presque les balles voler près de nous. Surtout, elle évite le manichéisme en nous faisant suivre en parallèle de la quête d'Antoine, trois djihadistes anglais venus rejoindre le Califat. Et par ces deux histoires parallèles, on constate au final que les deux troupes partagent une dévotion totale pour la cause qu'ils défendent et sont, les deux, prêts à sacrifier leurs vies pour celle-ci. Histoire de pinailler un tout petit peu (j’aime ça), j'ai trouvé la partie espionnage Homeland-like moins convaincante, tout comme j'ai été désagréablement surpris de voir
Sarya être reléguée au deuxième, voire quatrième plan à l'arrivée d'Anna, comme s’il était impossible pour la série de faire cohabiter deux personnages de femmes fortes.
Malgré cela, No Man’s Land est une série à regarder, frappante et marquante et devant laquelle je ne me suis pas ennuyé une micro-seconde. Avis favorable
Ratched
Marie-Louise : Sur le papier, Ratched avait tout pour me convaincre : série réalisée par Ryan Murphy, mettant en scène certains de ses acteurs fétiches (l’excellente Sarah Paulson en cheffe de file), elle raconte la vie "d’avant" de la tyrannique infirmière Mildred Ratched du livre et film Vol au-dessus d'un nid de coucou. Bien sûr les images sont léchées, bien sûr le gore y tient une bonne place, bien sûr les personnages féminins y sont bien écrits, comme toujours avec Ryan Murphy. Mais il m’a manqué quelque chose cette fois-ci, et je suis passée complètement à côté de cette histoire. Je ne pense pas que je serai au rendez-vous pour la saison 2. Avis neutre
Raised by Wolves
Nick : Le début de Raised by Wolves intrigue par ses thématiques, plante efficacement son décor et est visuellement assez réussi. Mais très vite, la série se fait prendre à son propre piège, celui du surplace, puisqu’on suit deux camps ennemis coincés sur une même planète mais qu'il ne faut pas faire affronter trop rapidement, car sinon, il n'y aurait plus grand-chose à raconter. Donc on comble les épisodes comme on peut, en attendant l'assaut final, notamment en se faisant comporter de manière totalement extrême deux enfants pour amener de petites péripéties. Malheureusement, Raised by Wolves gère très mal ses moments faibles et je me suis bien ennuyé quand je ne rageais pas des réactions exaspérantes du duo Campion et Luka (« Non, je ne veux pas manger de viande »). Et enfin, dans ses derniers épisodes, quand la série se décide enfin à se bouger, c'est pour sombrer dans un keskecékecetruc nanard et grotesque (ce vers géant, sans déconner ?). Bref, Raised by Wolves est ce gadget haute technologie clinquant reçu à Noël, mais qui montre de sérieux dysfonctionnements de batterie au bout de la troisième utilisation. Avis défavorable
Scènes de ménages - saison 12
Mmaginère : La rentrée avec Scènes de ménages est toujours aussi drôle : entre Liliane qui préfère sa chienne à sa petite-fille, Camille et Philippe qui sont devenus grands-parents, Emma qui a le béguin pour l’américain Andrew ou encore Léo qui travaille aux pompes funèbres, les couples de la série n’ont pas fini de nous faire rire. Avis très très favorable (comment ça, je ne suis pas objective ?)
The Crown - saison 4
Marie-Louise : La famille royale britannique, c’est mon petit plaisir coupable. Je ne lis pas la presse à potins, mais si un titre mentionnant l’un des membres de cette famille passe sous mes yeux, vous pouvez être sûrs que je vais cliquer, pour me prendre mon petit shot de monarchie anglaise (mon préféré c’est Harry, laissez-moi je l’aime beaucoup trop). Alors quand une nouvelle saison de The Crown est mise en ligne, je ne fais forcément jamais l’impasse. Si cette saison 4 a su garder le niveau des trois précédentes sur la forme (on saluera entre autres l’excellente performance de Gillian Anderson, méconnaissable en Margaret Thatcher), je dois tout de même avouer avoir été gênée par certains de ses aspects. Car cette année a vu l’entrée de Diana au sein de la maison Windsor, et la série semble ne pas vouloir traiter son histoire (et son mal-être) de manière objective. On pourrait même dire qu’elle met un peu le feu aux poudres, sous prétexte de "liberté artistique". Sauf que dans les faits, j’ai lu beaucoup de gens n’ayant pas su (pu ?) faire la part des choses, et restant convaincus que ce qui est présenté dans la série est une vérité historique. Un peu malhonnête de la part des scénaristes, donc, mais je ne boude pas mon plaisir. Avis favorable
The Mandalorian - saison 2
Galax : Loin de "sauver la franchise" comme on peut le lire souvent, The Mandalorian est revenue pour cette deuxième année avec toujours ce drôle de mélange entre fil rouge et filler, constamment saupoudré de fan service plus ou moins bien utilisé. En général cette année, la barre a été encore redressée par rapport à la sympathique saison 1, notamment grâce au retour de deux ou trois personnages absolument phares dans la saga. La série a même su offrir des passages plutôt émouvants et donner de la substance à son emblématique Baby Yoda ou "Grogu", et à son héros, le Mandalorien. Tous les épisodes ne sont pas une réussite, mais le succès de la série et son contexte permettent au minima à cette saison d’être une incontournable pour tout fan de Star Wars. Incontournable, autant pour ce qu’elle apporte comme information pour les fans de certaines époques (les séries animées notamment), que pour ce qu’elle tease sur la suite. En effet, sur la flopée de séries Star Wars annoncées par Disney, plusieurs semblent être directement une branche de The Mandalorian. Cette saison 2 est donc une sorte de tremplin/vitrine pour tout un univers des possibles pour la suite de Star Wars, à tel point que le fil rouge de The Mandalorian en lui-même a généralement peu avancé. Il est impossible de jauger quelle direction la saison 3 adoptera et ça rend la série assez excitante. Avis favorable
Koss : Une saison bande-annonce des douze séries Star Wars. Le thème de la paternité centrale entre Baby Yoda et Mando dans la série n’a jamais abouti. Le show se contente d'enchaîner les loners, parfois sympathiques, mais souvent sans intérêt. On en est à la fin de la deuxième saison et l’impression est là, tenace, que la série n’a pas commencé. Avis défavorable
The Queen's Gambit
Koss : Une version manga-shonen des échecs : une héroïne solitaire qui gagne grâce au pouvoir de l’amitié. L’ensemble se suit sans déplaisir, notamment grâce aux personnages masculins plutôt réussis. Malheureusement, la série ne raconte rien sur le jeu en tant que tel ("C'est cérébral houla !"), ni sur les joueurs eux-mêmes ("Ils sont sérieux houlala !"). Au vu du générique de fin qui fait graphiquement s'opposer des formes en noir et blanc, tu sens bien que de toute façon, les scénaristes et réalisateurs n'avaient aucune idée de la manière de transcender leur sujet. Un peu bête pour un jeu aussi intéressant et complexe. Avis neutre
Marie-Louise : Je n’y connais absolument rien aux échecs. On a déjà essayé de m’apprendre à plusieurs reprises, mais rien à faire, ça ne rentre pas (par contre je suis super bonne au rami, si ça intéresse quelqu’un). Et pourtant, The Queen’s Gambit m’a fascinée. C’était beau, l’histoire était simple mais diablement efficace, et Anya Taylor-Joy, campant le personnage principal de Beth, mon dieu ! Hypnotisante de beauté, de grâce et de finesse, ce fut un festin pour les yeux de la voir évoluer à l’écran. Je n’ai pas encore réussi à décider si je voulais être elle ou lui faire des bébés, mais il est certain qu’elle m’a hantée longtemps encore après la fin de la série. Et tant pis si je n’ai rien compris à ses tactiques sur le plateau. Avis très favorable
BONUS |
This Is Us - saison 5
Mmaginère : Mon avis détaillé sur chaque épisode de This Is Us est disponible sur le site. Pour l’instant, je suis mitigée sur cette saison. Il y a du bon et du mauvais. À voir la suite. Avis neutre (mais penche plus vers favorable)
Truth Seekers
Nick : Fan absolu de Shaun of the Dead (et de la trilogie Cornetto), je bavais d'impatience à l'idée d'une nouvelle collaboration entre Simon Pegg et Nick Frost avec ce Truth Seekers. Malheureusement, j'ai très vite déchanté et j'ai abandonné l'affaire après trois épisodes seulement. Déjà Pegg n'y fait que de la figuration, histoire sans doute de toucher son chèque, mais en plus, c'est hyper mal écrit, le surnaturel tombe du ciel et on règle le tout en un claquement de doigt. Mais limite, si au moins c'était drôle, si au moins ce laxisme sur les intrigues et leur résolution permettait de la poilade et autres tapages de cul à terre de rire, je fermerais les yeux. Mais non, que nenni, pas du tout. J'ai rarement vu une série être aussi laborieuse dans sa fabrication de l'humour. Les gags sont mous, ont la tête basse et s'écrasent mollement à peine sortis. Cette série n’est pas drôle, il faut le voir pour le croire et je n’ai même quasiment jamais souri. Mince, je ne parle pas de fou-rire, mais juste de sourire. Tout comme jamais je ne me suis dit « ah ce gag-là n’est pas mal ». Non. Ja-mais. Truth Seekers est une vraie catastrophe industrielle. Avis défavorable
Vikings - saison 6B
Mmaginère : La fin de Vikings, je l’attendais juste pour en finir avec cette torture. C’est inintéressant, mal joué et stupide au possible. La série n’a jamais vraiment brillé, mais là… Qu’est-ce qu’elle est tombée bas. Avis très défavorable
WandaVision
Galax : À l’heure où j’écris ces lignes, seuls deux épisodes de WandaVision ont été diffusés sur les neuf prévus pour cette mini-série, dont nous avons fait la critique. Mais ces deux mini-épisodes étaient incroyables. Même sans être fan ou connaître l’univers du Marvel Cinematic Universe, c’est un début qui déborde de peps, de créativité, de dialogues fins, et le format est ultra intéressant. Pour une fois que le MCU innove à ce point, cela vaut largement le coup d'œil : ce n’est pas une énième série de super-héros "qui ne ressemble à aucune autre", c’est surtout un petit OVNI télévisuel à part entière pour le moment ! Avis très favorable
Koss : Excellent début pour la première série 100 % Disney-Marvel. WandaVision est portée par un couple d’acteurs, très crédibles. L'ensemble sonne comme une lettre d'amour à Ma sorcière bien-aimée et aux sitcoms multicam en général (pubs comprises). Il y a un excellent timing comique et pas mal de blagues fonctionnent. C'est particulièrement intéressant que la première série télé Marvel reparte des années 60 (année de l'âge d'or des comics), qui est aussi celui des sitcoms : Ma sorcière bien-aimée, The Dick Van Dyke Show (Paul Bettany ressemble d'ailleurs un peu à Dick Van Dyke), ou le Brady Bunch. Si le show retrace en fond une évolution de cet art si particulier de la télévision, alors je serai bien client. Avis très favorable
Zoey’s Extraordinary Playlist - saison 2
Mmaginère : Après seulement deux épisodes de cette deuxième saison, Zoey's Extraordinary Playlist reste sympa et rafraîchissante, avec quelques évolutions bienvenues. Malheureusement
le départ de Lauren Graham gâche complètement la série.
Avis favorable
Voilà, et bonne année 2021 à vous tous.
Même si une année qui commence avec la mort de Jean-Pierre Bacri ne sera pas un méga bonne année, si vous voulez mon avis.