En fait apparemment Netflix aurait tenté plusieurs ordres d'épisodes, même si j'ai l'impression qu'un "principal" a été utilisé la plupart du temps.
Love, Death & Robots
Créatures terrifiantes, méchantes surprises et comédie noire convergent dans cette anthologie d’animation pour adulte présentée par Tim Miller et David Fincher. Une collection de courts métrages animés en tous genres: science fiction, fantasy, horreur et comédie.
En cours | Américaine, US | 13 minutes |
Animation, Fantasy, Horror, Science-Fiction, Action, Mini-Series, Science-Fiction & Fantastique | Netflix | 2019 |
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Avis sur l'épisode 1.07
Avis favorable | Déposé le 24 mars 2019 à 13:25 |
WTF Netflix qui m'a complètement foiré la numérotation et m'a lancé cet épisode en premier ? En tout cas, c'était un épisode plutôt intéressant, avec un twist bienvenu. On a, comme toujours, envie d'en voir plus, cela dit. Surtout que le world-buiding est ici ultra limité - l'épisode ne vit que pour son twist, certes sympathique, mais l'épisode du fermier ou Sonnie's Edge faisaient plus de choses avant leurs twists finaux. Ici, on a juste une scène de sexe quoi : le concept de la cuve est classique, tous les éléments "SF" sont déjà vus, bref, il y a très peu d'idées. La patte ultra-réaliste fonctionne pour les décors et pour la plupart des scènes, mais pas toujours - le modèle du troisième personnage de l'épisode (la fille dans la cuve) est très raté et typiquement ce visuel "jeu vidéo réaliste" n'apporte aucune émotion je trouve - j'ai revu cet épisode en 2021 et c'est fou ce que ça fait déjà daté. Le style hyper réaliste est en revanche totalement justifié par la fin et l'idée d'illusion générale, qui nous plonge dans un monde amorphe. C'est une très belle idée qui fait tout l'épisode ce qui lui vaut sa bonne note, mais inférieure à une grande partie des épisodes avant lui. |
Avis favorable | Déposé le 23 mars 2019 à 16:21 |
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Avis favorable | Déposé le 22 mars 2019 à 08:59 |
C'était pas mal du tout. Assez émouvant. Par contre, graphiquement j'ai du mal avec le parti pris ultra-réaliste. Une question de goût, sans doute. |
Encore un épisode limité quant à son intérêt scénaristique qui est essentiellement un prétexte à mettre en avant une esthétique. Ici, on est sur le niveau max du CGI. J'ai été autant impressioné que lorsque j'ai vu le film Final Fantasy au ciné. Ce n'est pas forcément ma tasse de thé, mais il faut avoir on atteint un niveau technique impressionnant, c'est remarquable.
Dommage que le budget n'ait pas aussi servi à développer une intrigue intéressante ! J'imagine que le bouquin dont cet épisode est tiré va plus loin qu'une scène de cul.