" Je ne supporte plus les gros plans sur June"
Quoaaaa ??!!
Dans une dictature où la stérilité a frappé les femmes, ces dernières sont divisées en trois catégories : les Épouses, qui dominent la maison, les Marthas, qui l'entretiennent, et les Servantes, dont le rôle est la reproduction.
En cours | Américaine, CA, US | 50 minutes |
Drame, Science-Fiction, Drama, Science-Fiction & Fantastique | Hulu | 2017 |
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Avis neutre | Déposé le 07 septembre 2019 à 09:41 |
Un épisode qui traîne en longueur, avec comme seul intérêt les scènes avec Fred / Serena.... La série s'essoufle et tire en longueur, cela devient ennuyant... |
Avis défavorable | Déposé le 25 août 2019 à 23:07 |
Je crois que ça y'est, je n'en peux plus. Je ne supporte plus les gros plans sur June, et je crois que j'explose de rire (jaune) dès que j'en vois un, désormais. S'il y'a des choses intéressantes dans cet épisode (principalement dues aux Waterford), l'ensemble est vraiment plat, et je me suis ennuyée durant 50 minutes. Le sauvetage des enfants aurait gagné à intervenir plus tôt dans la saison, histoire de le rendre crédible. Là, on a juste la mauvaise impression que tout a été bâclé afin d'avoir une fin correcte. Allez, plus qu'un. |
Avis favorable | Déposé le 23 août 2019 à 10:21 |
L'intrigue des bébés arrive à mes yeux bien trop tard dans la saison pour être crédible, tout comme les Lawrence qui auraient grandement eu besoin d'un petit épisode flashback pour les rendre plus crédibles et justifier leur ralliement à un plan aussi tarabiscoté. Il en est de même pour l'écriture de Dark June, que la réalisation nous assène en permanence à coup de gros plans (ce regard de Judas ridicule en conclusion de l'épisode). C'est bien dommage car je trouvais l'esthétique de la série très réussie, mais à l'image de Sherlock ou Hannibal, cette troisième saison semble trop consciente de ses gimmicks visuels et en abuse plus que de raison. Un épisode en demi-teinte qui condamne un personnage qui n'en a jamais vraiment été un (la dingo de service qui servait le scénario) pour apporter de la tension dans une intrigue qui semble sur le point de se conclure alors qu'elle n'a pas encore démarré. Heureusement, il reste les Lawrence et leur arrestation qui révèle toute l'ambivalence des relations entre le Canada et Gilead et offre les meilleurs scènes de l'épisode (Serena qui ne peut dire le mot "maman" et Fred qui provoque Luke). |
Avis favorable | Déposé le 10 août 2019 à 10:48 |
Alors que l'on s'imagine que l'intrigue va suivre un chemin tout tracé, la série continue de tout renverser et rend chacun des personnages égoïste :
A ce stade, difficile de voir de quoi le final sera fait, mais il semblerait que la mission de June en soit au cœur... Reste à savoir comment tout ça va se dérouler ! |
La mort d’Eleanor est touchante mais prend vraiment toute la fin d’épisode, c’est trop long. Ce personnage aura été touchant par moments, clairement une balise d’espoir parmi les Épouses de Gilead, mais il était aussi une anomalie du système et son sort n’est guère surprenant.
June fait finalement énormément de choses moralement discutables (comme la non-assistance ici) mais en même temps c’est le système tout entier qui est le coupable avant tout (avant elle), et notamment les hommes, les gens qui ont mis en place ce système.
C’est assez intéressant de voir la transformation de June, que le visuel souligne fortement (les regards noirs comme son costume). Mais à ce stade, on attend surtout le final avec le plan d’échappée des enfants, donc niveau rythme ça patauge un peu.
J’aime toujours cela dit beaucoup la dynamique créée avec Lawrence, que je trouve au contraire très crédible. Même si June ne peut que le détester pour ce qu’il représente, et pour la cérémonie, je ne peux m’empêcher d’y voir une forme de vraie amitié malsaine lors de leur rapprochement final au cimetière.
Et puis, il y a toujours quelques excellentes scènes comme le moment où June secoue Eleanor (Moss jouant parfaitement la colère solennelle ici), où quand Rita soutient June (”You’re such a boss now”). On est donc loin de tout jeter.
Au Canada, trois scènes clés : Serena qui laisse derrière elle “Mrs Waterford” avec une vraie rupture avec Fred, toujours motivé par un égoïsme gênant. Puis, la confrontation avec Moira, excellente, où les termes de viol sont dits pour que la vérité lui soit bien envoyée dans sa face (cela n’a probablement aucun impact, mais tout de même, ça fait plaisir), suivi par le temps passé avec Nichole où Serena se voit refuser l’emploi du mot “maman”. Enfin, la confrontation du côté des hommes, Fred et Luke, plus traditionnelle mais néanmoins intéressante.