La photo me donne envie de détester cette série. Les comédies musicales avec des mecs en fauteuil roulant, c'est affligeant. A quand une série sur un aveugle critique de films de cul, un manchot qui joue à guitar hero, une naine qui serait la vitrine de la première chaîne d'Europe Tf1 ? Je me demande, mesdames, messieurs, comment font certains pour ne pas s'insurger contre les gens qui n'ont ni morale, ni valeur.

"ma serie preferée que j'ai decouverte sur m6...j'aimais beaucoup jensen ,l'ayant vu jouer dans dark angel et j'ai ete conquise...quand j'ai appris qu'il allait jouer dans une nouvelle serie,j'ai pensé qu'un role genre alec lui irait bien et gagné!!!aventurier au grand coeur,sans peur,sexy et bagarreur...tout pour plaire..mais jared n'est pas mal non plus...sinon j'adore chaque episode sauf le 9 de la saison 5..." Honnêtement, ce que tu dis m'offusque tellement que je le prends comme si tu avais insulté ma mère. Je me vois donc dans l'obligation de te demander des excuses.

Une seconde saison complètement en deçà de la première. La faute à une perte d'humilité de ses créateurs et d'une mise à l'honneur de cette histoire d'amour dont on a clairement rien à branler au détriment de l'action et de l'humour. C'était fun, maintenant c'est un peu chiant. Reste le charisme de certains personnages...

Une première saison attachante qui, selon les épisodes, est au mieux délirante au pire passable. Tout ne marche pas mais il y a quelques fulgurances qui donnent vraiment envie de voir cette série continuer. En dehors de ça, j'ai tapé Sinéad Moynihan sur youjizz mais je n'ai rien trouvé. Je ne comprends pas.

Je ne vois pas de quoi vous parlez, cette saison n'existe pas.

Mad men est une série dont la forme prime largement sur le fond. Elle est capable d'enchaîner le bon comme le moins bon. Bref, c'est un divertissement sympa mais loin d'être une série brillante.

Ben moi je dis chapeau les mecs. Parce que cet épisode, quand bien même je le trouve un tout petit peu moins prenant que celui de la semaine dernière, envoie toujours du pâté. On voit encore une fois que chaque détail a son importance et qu'il y a un réel souci de cohérence, que ce soit au niveau de l'histoire ou de la construction des personnages. Compte tenu de ce que nous a montré l'intro de l'épisode, on peut s'attendre à ce que ça chie des bulles chez le deuxième "hermanos" restant suite à la scène du parking...

Un épisode un peu plus calme que les précédents. Enfin calme, c'est un bien grand mot parce qu'il se passe des choses pour le moins crispantes pour Walter entre la maison poulaga qui investit l'hôpital, la rencontre pour le moins curieuse avec el hermano et Gustavo qui ramène un supplément de poulet... Au final, j'ai trouvé que cette semaine la livraison de Breaking bad brillait surtout par son humour présent dans chaque scène et je trouve très plaisant la facilité avec laquelle les gens qui font cette série arrivent à jongler avec les genres sans se trahir.

J'ai trouvé cet épisode un peu moins bien que les précédents. En particulier la première partie avec tous ces travellings/plans à la grue pourlingues qui détonnent vraiment avec le reste de la réalisation plutôt classe d'habitude. Je me suis emmerdé ferme devant ce passage où Walt chasse seul cette mouche. Puis l'épisode est devenu très bon une fois Jesse arrivé. Je prends l'histoire de la mouche qui échappe à Walter et l'obsède comme métaphore du questionnement du héros sur ce qui a pu lui échapper dans sa vie pour que la situation soit à ce point fébrile ces derniers temps. Le passage où il évoque la copine de Jesse est remarquable.

La similarité des plans entre Jesse et Skyler en train de « cuisiner » donne le ton de cet épisode où l'on voit cette dernière taper l'incrust' dans l'entreprise et "commencer" à naviguer en eaux troubles. En témoigne son joli lapsus " This is what we buy… You… This what you buy. " La collision des mondes de Saul et Skyler amène une scène tordante (Mention spéciale à la blague de notre ami avocat concernant les choix - d'allié et de femme - de Walter : " Only the very best, with just the right amount of dirty. "qui est pour le moins significative). Concernant Jesse, sa rencontre avec la nana et plus particulièrement avec Tomàs (super bien amenée au passage) met en place une situation vraiment compliquée qui est - me semble-t-il - directement en lien avec l'invitation flippante de Gustavo. Je pense que les "Come on, you can help me cook." et « Never make the same mistake twice » renvoient purement et simplement à la chourre de Jesse (Le plan qui suit cette phrase montre justement ce dernier sortir de sa voiture). Et on en vient à Hank qui en chie des ronds de chapeau car son rétablissement ne se fait pas aussi rapidement qu'il l'aurait espéré.Ce qui est malin, c'est que son refus de quitter l'hôpital tant qu'il ne sera pas valide "no matter what it costs" va sans doute l'amener à un moment ou un autre à (se) questionner sur la provenance des ressources de son samaritain. Bref tout nous amène (de façon subtile et cohérente, prends ça Darlton) vers une énorme fin de saison.