1 jour 19 heures 58 minutes devant l'écran
Moyenne
15.88
Nombre de notes
64
Nombre d'avis
67
67
Favorables
0
Neutres
0
Défavorables
Avis sur les séries
L'avis de loriale sur
Suburgatory
J'aime beaucoup cette série. Elle peut être émouvante et très drôle, et quand elle rate quelque chose, généralement, les personnages ont l'air de trouver que c'est complétement dingue. C'est génial !
Avis sur les saisons
L'avis de loriale sur
Merlin (2008) / Saison 4
C'est bien, mais trop peu d'avancement et de développement des personnages serait dangereux pour la prochaine saison.
L'avis de loriale sur
Suburgatory / Saison 1
Une bonne série, parfois profonde, parfois délirante, parfois proprement absurde (comiquement) et dénuée de sens, mais toujours drôle et géniale grâce aux acteurs qui jouent dedans. Les personnages sont d'une grande qualité et intéressants.
Avis sur les épisodes
L'avis de loriale sur
Scandal (2012) / 1.06 The Trail
C'est un très bon épisode vraiment dramatique et fascinant, et je commence à m'attacher au président. Sa femme est un personnage fascinant, suffisamment distant et effrayant pour justifier que le président désire l'adultère, mais pas assez pour justifier le fait qu'il le commette.
L'avis de loriale sur
Suburgatory / 1.15 Fire with Fire
Comme toujours, cette série est sous-estimée par ses fans qui ne voient que l'humour potache et ne comprennent pas ses idées.
Cet épisode est le parfait exemple : contrairement à la plupart de la concurrence, Suburgatory parvient à développer un thème et à s'y tennir : l'identité.
Lisa craint son identité (un thème repris plus tard lorsque l'idée de ne pas être la fille de sa mère la pousse à enfn penser qu'elle pourrait être qui elle voudrait), et voudrait en changer. Elle est prise entre deux images et influences de personnalité forte qui n'ont pas besoin de soutien émotionnel pour s'établir, deux identités stables : Tessa, la jeune fille indépendante, profonde et impitoyablement réaliste, et Dalia, la jeune manipulatrice qui vit selon son envie du moment et dans un monde intérieur rose, froufrouttant et cruel où elle crée des plans de revanche délicieusement révélateurs (j'y reviendrais plus tard), et ne parvient à être ni l'une ni l'autre.
Jill Werner regrette son identité. Elle est une femme au foyer qui a sacrifié sa carrière (Thanksgiving) pour élever une fille avec qui son mari et elle sont moins proches que par le passé (Thanksgiving encor) et s'occuper d'un mari qui la considère comme un objet sexuel (toute la série). La figure de Dallas, une personnalité forte et opposée, lui montre tout ce qu'elle a refusé d'être pour des raisons futiles. Elle se jette sur cette occasion pour devenir cette image, et va jusqu'à remettre en question son mariage, dont Noah doit (se comportant d'une manière différente de celle de son personnage coutumier, altérant son identité) lui rappeler l'importance.
Dalia elle-même, lorsqu'elle veut se venger de Tessa, prouve que son identité, à défaut d'être aussi faible et malléable que celle des précédents personnages, est ancrée uniquement sur des points superficiels qui la définissent : quand Dalia veut quelque chose (un vêtement, un cadeau, une vengeance diabolique), elle fait tout pour l'obtennir, quite à changer d'orientation sexuelle.
L'avis de loriale sur
Suburgatory / 1.20 Hear No Evil
Je crois que même si l'épisode souffre d'un manque d'explication de l'intérieur des personnages, les choix se justifient. La romance est rafraîchissante et surprennante depuis l'épisode 1x19, mais j'aurais voulu que ça commence un plus doucement.
L'avis de loriale sur
Suburgatory / 1.21 The Great Compromise
C'est bien qu'Eden soit un plus explorée, je l'aime de plus en plus. Les relations entre Eden, Geoge et Tessa sont enfin approfondies, et Tessa montre ses projets et nous en révèle un peu plus sur elle. J'aime bien l'idée qu'Eden finisse par avoir raison au sujet de Tessa.