Un épisode prometteur, ça fait plaisir. Dès la scène d’introduction avec un flashback dans le passé sans aucun lien apparant avec notre histoire présente, on sent que AHS est déjà plus de retour !

Les rôles de Leslie Grossman et Billie Lourd, autant dans le passé que dans le présent, sont assez amusants. Le montage “It’s my body” est réussi, et j’ai bien ri au gag “What did Meryl Streep do?” “Exactly.”.

Cara Delavigne brille par son absence et tant mieux vu qu’on a déjà Kardashian en tant que pseudo-actrice mauvaise, une suffit. Kardashian prend d’ailleurs ici une posture encore plus bitchy qui devient tellement nanarde qu’elle ajout au kitsch de la série plus qu’elle ne la dessert. Elle m’a même fait rire une fois, et j’aimerais que la saison touche plus au showbiz et à l’audiovisuel américain, donc inévitablement j’aimerais qu’elle soit plus là.

Ils font aussi un joli travail pour naviguer entre gaslighting et paranoïa injustifiée, avec le mari qui ici semble vraiment bienveillant… est-ce sincèrement le cas ?

Il y a toujours une répétition vraiment forcée de la protagoniste qui se retrouve toujours en séquence hallucinatoire seule (pourquoi est-elle autant si seule ?) et certaines scènes très risibles, comme quand elle se cogne la tête toute seule…

Mais je retrouve une vibe plus creepy appréciable avec ces bébés démoniaques (pas une vraie nouveauté vu les thèmes des saisons 1, 8 ou 10B, mais bon) ou la soif de sang d’Anna.