Breaking Bad
La vie de Walter White, professeur de chimie dans un lycée, est bouleversée lorsqu'il apprend qu'il est atteint d'un cancer en phase terminale. Une nouvelle qui le sort de la torpeur de son quotidien et l'amène à prendre des mesures radicales pour anticiper l'avenir de sa famille.
Terminée | Américaine | 47 minutes |
Drame, Crime, Drama, Suspense, Thriller | AMC, Arte, Netflix | 2008 |
24 avis favorable
2 avis neutre
1 avis défavorable
Avis sur l'épisode 3.11
Avis favorable | Déposé le 31 mai 2010 à 20:37 |
Une succession de dialogues et d'actions ... mais toujours aussi prenant , bon début d'episode , et une énorme fin qui m'a littéralement scotché ( il m'en faut peut etre peu , mais c'est breaking bad ) TRES bon Season Finale en perspective |
La similarité des plans entre Jesse et Skyler en train de « cuisiner » donne le ton de cet épisode où l'on voit cette dernière taper l'incrust' dans l'entreprise et "commencer" à naviguer en eaux troubles. En témoigne son joli lapsus " This is what we buy… You… This what you buy. "
La collision des mondes de Saul et Skyler amène une scène tordante (Mention spéciale à la blague de notre ami avocat concernant les choix - d'allié et de femme - de Walter : " Only the very best, with just the right amount of dirty. "qui est pour le moins significative). Concernant Jesse, sa rencontre avec la nana et plus particulièrement avec Tomàs (super bien amenée au passage) met en place une situation vraiment compliquée qui est - me semble-t-il - directement en lien avec l'invitation flippante de Gustavo. Je pense que les "Come on, you can help me cook." et « Never make the same mistake twice » renvoient purement et simplement à la chourre de Jesse (Le plan qui suit cette phrase montre justement ce dernier sortir de sa voiture).
Et on en vient à Hank qui en chie des ronds de chapeau car son rétablissement ne se fait pas aussi rapidement qu'il l'aurait espéré.Ce qui est malin, c'est que son refus de quitter l'hôpital tant qu'il ne sera pas valide "no matter what it costs" va sans doute l'amener à un moment ou un autre à (se) questionner sur la provenance des ressources de son samaritain. Bref tout nous amène (de façon subtile et cohérente, prends ça Darlton) vers une énorme fin de saison.