Tout est dit dans les différentes critiques, c'est excellent, brillant, et la scène d'attente de Jesse est à mourir de rire.

Un troisième très bon épisode d'affilée !

J'aime beaucoup le personnage de Gus, qui prend ici encore plus d'ampleur.

Les scènes de Jesse m'ont fait rigoler, ça permet de faire descendre un peu la tension.

Je ne suis pas du tout triste de voir le deuxième jumeau mourir !

Un très bon épisode en huit clos où toutes les scènes se valent. Gus est un personnage génial, il va nous réserver des surprises, je pense. Du côté de Jesse, c'est parfaitement inutile mais bon ça fait redescendre la tension.

La scène d'ouverture est brillante d'écriture. Vraiment brillante. Marie qui blâme Walt... défendu par Skyler : "He's not his fault, Marie". C'est fort.

C'est fort parce qu'on peut légitimement se poser la question : est-ce vraiment la faute de Walter ? C'est un connard certes, mais est-ce vraiment de sa faute ? Je n'ai pas de réponse. La série ne donne pas de réponse d'ailleurs. On a assisté à une succession de cause à effet sans vraiment savoir qui à l'origine de quoi (Rappel : c'est Hank qui a "poussé" Walter vers ce chemin). Où est l'origine du mal et qui est vraiment mauvais ? Non, la série ne donne pas de réponse et je ne crois pas qu'il y en ait.

Chacune des scènes est tournée vers ça : quels sont les choix que tu fais ? Qu'est-ce que qu'un bon choix ?

Pour la première fois depuis le début de la série, je trouve que là, on tient un discours non plus caricatural, mais subtile et fin. Quelque chose que je n'avais pas encore vu à l'écran depuis le début. Quelque chose qui commence à ressembler à une série intelligente.

Je crois que je devrais faire des pauses plus souvent. Ça me fait du bien en fait. :)

PS : L'épisode est bien, bien meilleur que le précédent. Pourquoi ? Car chaque scène est intelligente et bien construite. Mais non, tout le monde ici a noté l'épisode précédent au dessus. Tout ça à cause des cinq dernières minutes. En fait, je crois de plus en plus que les gens sont comme des poissons rouges : ils notent juste ce qui se passe à la fin d'un épisode (Cf : Six Feet Under, Game of Thrones, Arrow, etc).

La tension redescend mais avec tout ce qui se passe il y avait du bon.

Après je me demande si Walter était sincère ou non.

Je suis déçu, moi qui trouvais que Jesse avait muri...

Et Gus montre les crocs !

Première fois dans la saison où j'ai rigolé dans une scène noire (la scène des "feux verts").

Gus est très bon, et j'adore le fait que Skyler commence à mentir aussi et à défendre Walter.

Cela dit je trouve l'épisode un peu surestimé ici. Il n'est pas si profond ni complexe, et la scène où le cousin amputé rampe est très grossière, comme tout ce qui touche aux cousins. De plus, Jesse ici a un développement bâclé et est laissé de côté.

Après un épisode tel que le précédent, il y avait fort à parier que le soufflet retombe. Et encore, avec Breaking bad, on ne sait jamais. Il est retombé, mais pas très bas. La série est vraiment montée d'un cran, par contre je déplore un passage assez gênant et malvenu dans cette série : le passage un peu gros de la discussion entre Walt et Gus devant tous les flics. Dans d'autres séries comme Dexter, ce genre de truc très gros est fait exprès donc ça peut passer, mais dans Breaking Bad, j'espère que ça ne se reproduira pas trop. Chose à souligner : on dirait que ça commence à remuer dans la petite cervelle de Skyler. Pour finir, un personnage à suivre : le premier assistant de Walt qui se fait virer comme un malpropre. Dans une série où chaque action peut avoir de graves conséquences, je pense qu'on entendra parler de lui plus tard.

Alors oui le rythme redescend, surtout les 20 premières minutes mais bon vu ce qu'il vient d'arriver ça peut se comprendre.

Mais par la suite j'ai trouvé ça toujours très bien surtout la scène ou le muet rampe. Beaucoup de cynisme dans cet épisode quand Walt est entouré de flics et qu'il répond merci mon père en répondant à Jesse, ou encore quand Gus vient se faire passer pour un bon gars.

Skyler et Marie sont deux créatures venues des enfers pour créer le mal!!

Du coup, comme l'épisode est centrée sur elle, le niveau baisse par rapport aux deux derniers. Mais, il reste quand même des scènes énormes!!!

Episode très puissant également bien que décliné dans un registre opposé au précédent.

Ce huis-clos hospitalier est à la fois pesant, émouvant et déterminant pour davantage creuser l'intrigue et développer les personnages. Il est articulé autour de Hank qui centralise les attentions de tous sans que l'on ne le voie à l'écran. Bien joué !

On comprend aussi que le Gus est bel et bien le marionnettiste et maîtrise la totalité du merdier.

Mes deux scènes préférées sont ici :

- le clin d'oeil à la scène d'ouverture de la saison, où le cousin chicano muet est de nouveau amené à ramper, mais avec plus de difficultés et un sillon de sang pour égayer le tout. Et que dire du regard de Walt qui comprend qu'il a peut-être aussi quelque chose à voir dans la vengeance des chicanos Salamanca...

- l'émouvante confession de Walt sur l'histoire des feux verts le jour de son opération. Skyler s'humanise dans cet épisode et cette confidence n'y est pas pour rien.