Alors je ne serais pas aussi enthousiaste que Manoune, mais effectivement, c'était légèrement mieux que le pilote. C'est toujours porté d'une main de maîtresse par Shapka, et le monde autour d'elle commence à prendre forme.

Il y a quelques réflexions intéressantes sur le féminisme, qui motive les choix de Sabrina, du début à la fin e l'épisode. Et cela fait du bien de voir un peu de continuité dans l'écriture d'un personnage, surtout le principal (coucou Riverdale qui, d'ailleurs, opère dans le même univers que Sabrina, c'est confirmé dans cet épisode).

La scène de signature est assez puissante en effet, tout comme la "course poursuite", qui est bien plus crédible que celle du pilote.

Oh et puis mince, en écrivant cet avis je me rends compte que l'épisode était en fait vraiment cool, et je vais être aussi enthousiaste que Manoune. Bien joué Sabrina Spellmann, tu m'as ensorcelé.

Ah, voilà qui est bien mieux. Il y a du caractère ! L’histoire se met réellement en place et la Sabrina de cette fin d’épisode n’est pas tout à fait la même que celle présentée deux heures plus tôt. J’ai aimé l’atmosphère, le féminisme (oui parce qu’étant donné que tout le monde surfe dessus, c’est toujours un peu téléphoné voire forcé) qui n’était pas forcément hyper naturel dans le pilot mais qui devient presque essence de l’histoire ici. J’ai trouvé qu’il y avait une certaine puissance, une noirceur aussi, et je suis beaucoup plus enthousiaste maintenant. Tout peut s’effondrer très vite, je le sais... N’empêche j’ai été surprise par ce qu’offre celui-ci !