Tel un triste Jour sans Fin, l'histoire de FB est condamnée à revivre le même synopsis : les Hazan sous le joug d'une brute et de son armée, contraints de continuer à fabriquer de la beuh, tandis que Joseph fait le clown. J'avoue néanmoins avoir rigolé deux ou trois fois ("plein nord", "la visite américaine" ou quand Joseph tombe du vélo elliptique).

Le caractère cru de la scène de la partie fine m'a pris au dépourvu, j'avoue que je ne m'attendais pas à tant de nudité étalée d'un coup, ma pauvre voisine de train aussi, je l'ai senti.