Alors oui, c'est un peu cheap (le trip hallucinogène de Louis à sa transformation en vampire réduit à un gros plan sur le filament d'une ampoule électrique), un peu kitsch (le combo repas renard vivant + allemand tout de cuir vêtu) et le rythme est plan-plan (pas de twist ou de cliff en fin d'épisode, l’alternance présent/flashback casse le peu d’élan qu’il y a ), mais la série continue de se laisser regarder, grâce, évidemment à la relation amoureuse toxique entre Louis et Lestat.