Après l'absence de Betty lors du dernier épisode, on voit ici un quasi centric sur son personnage. Très belle métaphore avec les oiseaux, qui donne une profondeur certaine à l'épisode. C'est triste de la voir littéralement tirer sur ses envies d'ailleurs et de liberté.

Enfin quelqu'un se rend compte que Joan est ici non pas pour aider, mais pour garder les femmes à leur condition pré-établie. Si elle ne le fait pas forcément exprès, elle doit tout de même garder une certaine satisfaction de rester au-dessus.

Enfin, Campbell est à la fois un misogyne de première, et ensuite un mec qui se bat avec son pote qui trouve Peggy grosse. Je sais pas si ça me fait plus apprécier le personnage ou encore moins.

Un épisode centré sur Betty, ça ne pouvait être qu'excellent, et ce le fut. Nouveau épisode préféré !

Bon épisode qui remet au centre un de mes persos préférés de la série : Betty Draper, lui offrant une évolution intéressante et de nouvelles perspectives.

Ce qui se passe à l'agence est moins intéressant, d'autant que je n'ai pas compris l'idée de Pete du coup de pub pour la campagne de Nixon.

parfois un plan muet suffit pour faire passer l'émotion et parler de l'état d'esprit d'un personnage. tel, la scène d'ouverture, des pigeons s'envolant au ralentit tandis que betty observe et on ressent son besoin d'ailleurs . Cette métaphore pigeon/betty sera repris tout du long de l'épisode avec brio juqsu'à la conclusion bluffante d'une femme acceptant, (malgré elle?) sa condition

Bon traitement du sujet du travail des femmes dans la société et superbe conclusion à l'épisode avec Betty qui chasse les oiseaux (ok dis comme ça, ça envoie pas du rêve). Et ca y est je me déclare officiellement amoureux de Betty Cooper.