Je vais surnoter légèrement cet épisode, pour trois scènes : celle où Connell craque complètement, celle où il se réveille et que Marianne est toujours là par Skype (même si je doute qu'une batterie sans recharge dure toute la nuit) et celle où il retrouve Marianne à l'enterrement.

La première est sans doute une des rares scènes de la série où je n'étais pas tenté de faire autre chose. ENFIN, on obtient des explications sur le personnage de Connell, avec une vraie performance de la part de Paul Mescal. C'est brut, c'est dur, c'est vrai. Ça change de l'esthétisme vain et prétentieux qui est souvent l'étalon de la série.

J'ai également trouvé toute la scène du Skype très juste. Ainsi que très choupi. Ils possèdent vraiment une relation à part, et cette partie-là de la série a trop souvent été éludée. Artificiellement par la série, même si je ne sais pas si elle a suivi le livre à la lettre.

Enfin, toujours dans cette logique, les retrouvailles à l'enterrement était d'une tendresse rare. C'est comme ça que la série m'a le plus plu, mais cela fait longtemps qu'elle semble l'avoir oublié.