Pose
Au coeur des années 1980 à New York, alors que le luxe de l'ère Trump est en pleine émergence et que le sida commence à faire des ravages, Blanca Rodriguez sert de mère adoptive à de jeunes gays et trans qui rêvent de faire carrière dans le monde des arts.
Terminée | Américaine | 42 minutes |
Drame, Historique, Drama | FX (US), FX | 2018 |
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Avis sur l'épisode 1.04
Avis favorable | Déposé le 22 juillet 2018 à 18:19 |
Arrivée à son 4ème épisode, une série a eu le temps de décanter et il est possible dorénavant d'identifier quels personnages ou intrigues nous plaisent, quels autres pas. Damon et son cours de danse, j'en peux déjà plus.... Pareil, je suis un déçu de la relation entre Angel et Stan déjà tombé dans le cliché de la grosse dispute partant de rien du tout et qui gâche tout. J'aurai tellement qu'ils soient au dessus de ça. A part ça, l'épisode est pas mal, donnant encore un peu de nuance à Elektra (sacré Christopher Meloni, toujours là où on ne l'attend pas, celui-là), tandis que la croisade de Candy est un subplot pas exceptionnel, mais qui fait le job, permettant même une réflexion sur "l'authenticité" dans un milieu où le corps peut se moduler sans tabou et selon le besoin. De même, une nouvelle fois, Pray Tell apporte de l'émotion. Étonnant personnage aussi que celui-là, j'ai mis beaucoup du temps à comprendre que l'ami couturier réservé et sensible de Blanca et le MC extravagant et lange de vipère étaient une même personne. En tout cas, sans renverser des montagnes, Pose continue son bonhomme de chemin. |
Le focus sur le Sida ajoute une dimension plus dramatique à la série et rend le personnage de Pray Tell touchant et attachant. Même chose pour Elektra qui sort clairement du lot. Mais à part ça, je suis d'accord avec Nick par rapport à Angel et Stan, dont la chute est trop tôt et trop poussive. Le thème des Balls avec le parcours de Candy n'est pas inintéressant mais remplit un peu l'épisode. Pose a du potentiel qu'elle n'exploite pas toujours !