Pray Tell est peut-être le personnage le plus touchant de la série, et un focus sur lui rend forcément l'épisode touchant. Je suis agréablement surprise de la tournure que prend la situation pour les Bowes et par la conversation Patty/Angel. Un ensemble moins incisif qui s'est éloigné du propos de ses débuts à mon sens, mais qui reste toujours flamboyant.

Il y a du Betty Dropper et du Libby Master chez Patty Bowes, cette femme qui a peine sortie de l'adolescence s'est trop vite retrouvée prisonnière du rôle de femme au foyer et mère de famille imposés par la société. C'est prometteur et je suis curieux de voir comment elle va évoluer.

Et comme toujours, Pose en fait des caisses : la déchéance et le mal être de Pray Tell passent en force. Mais comme souvent, cet écriture "gros sabot" arrive à sa fin et finit par provoquer de l'émotion.

Pose continue de passionner.