Un deuxième épisode nettement plus convaincant. Déjà, le stand-up est moins présent, cela hache moins l'épisode. Le générique fait son apparition tandis que Kramer a viré son affreux peignoir, mais aborde encore un look assez commun.

Comme la série parle souvent de nos grands petits drames de tous les jours, le débat d'aujourd'hui est : doit-on rompre avec un ami d'enfance, avec qui on n'a plus rien en commun, comme on arrête une aventure amoureuse. La scène de la rupture au resto est assez drôle, même si elle aurait pu aller encore plus loin dans l'aventure.

Dommage aussi que les storylines de George et Kramer sont réduites au maximum ,surtout Kramer est son idée de pizzéria où l'on fait notre pizza soi-même, j'ai même été surpris que cette idée, une des plus connue du personnage arrive si tôt dans la série.

Mais cet épisode est notable par la première apparition d' Elaine Benes, en mode tourbillon. En une scène, elle emporte tout.

Par contre, je suis surpris de constater que les acolytes de Jerry surjoue tous un peu. Est-ce pour insuffler une énergie et compenser le jeu d'acteur limité de Seinfeld? Cela va-t-il se calmer ou n'avais-je jamais fait trop attention à ce fait? L'avenir me le dira.

Phrase culte : "I was 10. I would've been friends with Stalin if he had a ping pong table" de Jerry.