Et hop, les très bons épisodes s’enchaînent, avec maintenant celui de la vierge. 

Il commence très bien avec cette partie de ping-pong sur les prénoms (Marla, Stacy, George, Jerry) et c'est ce genre de petits détails qui démontre toute la richesse d'écriture de cette série. Après c'est du très bon, entre Jerry et George qui n'ont pas écrit une seule ligne de leur pilote, Kramer dans une nouvelle intrigue totalement anecdotique mais énergique et cette histoire de vierge qui offre deux excellents moments : 

- les conseils d'Elaine à Milda sur les hommes.

Elaine : Now, the one thing you’ve gotta be ready for is how the man changes into a completely different person five seconds after it’s over. I mean, something happens to their personality. It’s really quite astounding. It’s like they committed a crime and wanna flee the scene before police get there.

Marla : So they just leave ?

Elaine : Yeah. Pretty much, yeah. Welle the smart ones start working on their getaway stories during dinner. How, you know they gotta up early tomorrow. It’s always about being up early. They all turn into farmers suddenly.

- et une de mes punchlines préférées de la série, George à l'idée de coucher avec une femme vierge. 

I don’t think I could do it. They always remember the first time. I don’t wanna be remebered. I wanna be forgotten.

Mais le top de l'épisode est les parties entre George et Susan. Quand il l'embrasse devant ses collègues à elles ou lorsqu'il jubile parce ce qu'elle s'est fait virer de sa faute car cela résout ses problèmes, soit la larguer pour draguer d'autres femmes sans que cela n'impacte la production de sa série, que c'est drôle. George, quel bel enfoiré. 

Elaine : Since she (Susan) met him (George), she’s been vomited on, her family cabin’s been burned down, learned her father’s a homosexual and got fired from a high-paying job. Yeah, they had a real good thing going.