Bon il y'a du mieux, l'enquête avance, je commence à y voir un peu plus clair, non en vrai j'ai rien compris .... 

Davy ... David pardon arrêtera de nous casser les couilles sur les prochains épisodes (même son suicide est sans intérêt), Sugar a arrêté d'être gentil ça fait du bien, le chien toujours aussi bien dressé à croire que c'est le chien de Sugar (ça fait 2 jours qu'il la), le mien ça fait 10 ans qu'il s'enfuie à la moindre occasion, Sugar a un petit secret apparemment ... oui t'aime les hommes pas de quoi en faire un plat pète un coup ! 
 

Bref bref continuons 

Venant d'une série qui fait constamment référence à l'Histoire des films noirs ou polars, c'est assez inévitable que la résolution de l’intrigue semble prendre des chemins connus, avec des membres de la famille (méga-riche forcément) qui trempent dans des affaires louches ou un trafic de prostitutions clandestins (la scène du kidnapping des adolescentes dans le bus des immigrés mexicains fait froid dans le dos).

Mais qu'importe en fait, car le principal reste cette atmosphère teintée de mélancolie. Le montage qui mélange des scènes n'ayant pas la même chronologie ajoute aussi au sentiment de rêverie éveillé qui est un des autres charmes de Sugar.

Je perds un peu le fil ici, le personnage (ou tout du moins, ce que nous savons sur le personnage) stagne et l'enquête avance, oui, mais le plus intéressant reste Sugar et ça n'avance pas beaucoup. C'est un peu comme si on était dans l'exposition constante, mais il nous faut des éléments pour bouger sinon ça reste très "Sugar est charismatique, il est parfait mais évidemment il a des failles blablabla". Le point fort de l'épisode est le mystère autour de Stallings et l'organisation (en somme ce qui se trame derrière Sugar), mais le reste était un peu plat à mon goût.