Un épisode intense, riche en émotions. Cette série est vraiment une excellente surprise. Je trouve particulièrement intéressant le personnage de Nora.

Un très belle épisode ! Dommage que les moments de "joie et bonheur" soient un peu trop exacerbés... Ça contraste trop avec les reste, ce n'est pas naturel, notamment avec Jill et son rire dégueulasse devant Nyan Cat...

Pour le reste, c'était très bon, on en apprend toujours plus sur les persos et même si j'y ai pensé à un moment, la toute dernière scène avec Laurie m'a fait un choc...

Un très bon épisode flashback, on comprend maintenant pourquoi certaines relations sont détruite et c'est assez inattendu. Cette fois on a moins de passages WTF et on ce concentre plus sur les personnages, leurs relation certes meilleurs que dans les épisodes précédant mais c'est loin d’être l'éclate.

Le plus intéressant reste l'utilisation de la culpabilité ( c'est pas vraiment spoiler mais ça peut donner des pistes ) : une famille qui t’agace que tu veux éloignée juste 30 secondes,une adultère dont tu sais pas quoi en faire, une grossesse non désirée ? Pouf tout le monde disparaît mais ce sentiment c'est ça qui détruit petit à petit nos personnages.

Vraiment un excellente écriture.

Un épisode flashback qui n'était pas forcément nécessaire à mon avis car cela laissait un voile de mystère sur la vie d'avant des personnages. Mais il faut reconnaître que, comme toujours avec cette série, c'est très très bien fait.

C'est vrai que faire tout un épisode en flashback, pas beaucoup de séries le font(sauf fringe).

Et que c'est bien fait!

A deux heures de son dernier coup d'éclat, The Leftovers se permet un épisode flashback inattendu qui s'amuse à tout prendre à revers et montre que même avant l'événement du 14 Octobre, les personnages étaient loin de mener la vie parfaite (le titre est très ironique et totalement juste à la fois donc).

Tous les personnages sont réinventés, c'est un vrai tour de force qui nous encourage à revisionner la saison entière pour mieux cerner chaque réaction : notamment la relation Jill/Laurie, Patti, Gladys, Tom...

La scène finale montre un autre point de vue de la Grande Disparition et est bouleversante sur certains points (Laurie !)

Cet épisode est par conséquent brillamment exécuté, et nul doute que le final, reprenant sans doute là où l'épisode 8 avait laissé les choses, va envoyer du lourd.

Il faut aussi noter que cet épisode offre probablement l'explication la plus noire, la plus abstraite et peut-être la plus réaliste concernant la Grande Disparition : le fait que les personnes disparues résultaient toutes d'un "pêché" de la part d'un proche. C'est notamment le cas pour Laurie qui ne veut pas de son bébé, Kevin qui était en plein adultère ou même Nora qui s'énervait contre ses enfants. C'est absolument tragique qu'un moment de faiblesse entraîne sans doute des personnalités rongées par la culpabilité et justifie ainsi de tous leurs comportements depuis le début. Et si la série n'était qu'un énorme cas de "vos désirs sont des ordres, mais attention à ce que vous désirez" de la part de l'univers ?...

Un épisode sublime quasi-parfait, une claque visuelle et humaine. Une telle maîtrise de ses sujets reste rare et le résultat est au dessus de toutes mes espérances. Cet épisode est un des piliers de cette saison afin de mieux comprendre les personnages. La fin de cet épisode est pourtant prévisible mais elle me laisse sans voix....

Plus la série avance, et moins son statut de "meilleure nouveauté de l'année" est galvaudé.

Encore un épisode brillant. Lindeolf maîtrise avec perfection ses personnages, mais aussi le rythme de la série. Je trouve ça fantastique de venir insérer cet épisode là à ce moment précis de la série, alors que y'a un climax, alors qu'on a nos certitudes... comparer l'avant/après, comprendre certains personnages, certaines évolutions, certains choix, même si on ressort avec autant voire plus de questions qu'avant comme d'hab (le cerf, Michael, les femmes qui s'arrêtent auprès de Kevin puis la bouche d'égoût...).

Alors oui le pourquoi de la disparition on s'en fiche. Mais on se rend surtout compte qu'il y avait des signes avant-coureurs, que certains le pressentaient, ou alors que Kevin commençait déjà à perdre les pédales.

J'ai une hâte incroyable de voir le dernier épisode de cette saison, qui est donc pour le moment à 90% une grande réussite.

Un épisode brillant, encore un cran au dessus des précédents. C'est un diamant qui finalise la parure de bijoux qu'est cette série. Le dernier sera l'écrin ?

Car, même si je m'attendais à ce que le coup du flashback soit fait, je pensais au dernier épisode.

Mais, je sors totalement comblée de cet épisode .Et là où on voit que cette série est une réussite, c'est que le fameux événement de la disparition est presque anecdotique. Il n'a pas besoin d'être expliqué, les disparus, on s'en préoccupe peu, cette disparition n'est qu'un catalyseur dans des chemins, ou choix de vies faits par nos personnages, par ceux qui sont resté.

La famille Garvey en est une parfaite illustration, elle semblait n'avoir perdu personne et donc ne pas être impactée par la disparition et pourtant celle d'avant n'a rien avoir avec celle de 3 ans plus tard.

La manière de dépeindre ce semblant de bonheur - la réussite de la mère, la magnifique maison, la famille heureuse- avec malgré tout des fêlures très vites visibles, c'est brillant !

On se délecte de chacune de ces 55 minutes qui viennent en écho avec ce que l'on a vu dans les épisodes précédents et répondent à des questions bien plus importantes que le pourquoi des disparus en l’occurrence la psychologie actuelle de nos héros.

Bravo.

De quoi sera fait l'écrin ? on verra dans quelques jours.

Une fois évacué la frustration liée à la temporalité de l'épisode cet épisode de Leftovers est simplement magistral à tellement de niveau qu'il est impossible de tout retranscrire.

Au delà de la brillance 5et je pense que c'est le cas) de cette plongée en quelque scènes dans la psychologie profondément complexe de ses protagonistes. Lindelof est totalement libéré des influences d'un JJ Abrahams qui va toujours plus vite au détriment des personnages et de l'émotion.

Ici on retrouve la brillance d'une série comme les Sopranos, Treme et The Wire. On perçoit absolument tout les fêlures des personnages au fur et à mesure de l'épisode (rendu palpable non pas par les dialogues mais le jeu des acteurs).

La plus grand force résident dans le fait que maintenant comme Usual Suspect à l'époque nous "force" à revoir les 8 épisodes précédents avec un tout nouvel éclairage.

En une saison Lindelof réussi le tour de force de faire taire toute méfiance et haine envers ses travaux précédents.

Respect.