The Office (US)
Le quotidien d'un groupe d'employés de bureau dans une fabrique de papier en Pennsylvanie. Michael, le responsable régional, pense être le mec le plus drôle du bureau. Il ne se doute pas que ses employés le tolèrent uniquement parce que c'est lui qui signe les chèques. S'efforçant de paraître cool et ...
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Terminée | Américaine | 22 minutes |
Comédie, Comedy | NBC, Canal+ | 2005 |
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Avis sur l'épisode 7.17
Avis favorable | Déposé le 17 janvier 2020 à 13:38 |
Un très bon épisode qui permet de sortir un peu de la routine du bureau. Drôle et à la fois super plaisant de revoir d'anciens personnages ! |
Avis favorable | Déposé le 08 mars 2015 à 10:23 |
Episode absolument génial où l'on découvre le fameux film de Michael Scott dont on entend parler depuis plusieurs saisons ! Une véritable ode au nanard, plein de scènes plus hilarantes les unes que les autres ! Enormissime ! "If doing the Scarn is gay, then I'm the biggest queer on Earth !" -- Todd Packer -- |
Avis favorable | Déposé le 18 mars 2011 à 11:52 |
C'était une très bonne idée de montrer son film. Je suis toujours un grand fan de Michael Scarn. Et puis le nouveau Michael Scott, ce qu'ils en ont fait au contact de Holly me plait beaucoup. Ils sont en train de lui offrir une belle fin. |
Avis favorable | Déposé le 18 février 2011 à 21:53 |
Un bon délire, et puis ça fait plaisir de revoir des anciens personnages. |
Je suis moins emballé que mes camarades. Alors oui, ça change un peu, mais on est typiquement dans ce qu’on pouvait attendre d’un film d’action écrit par et pour Michael Scott, soit une parodie facile et prévisible de blockbusters (et il y a même une pause de cinq minutes, quand Michael se met à bouder car Holly n’aime pas le film, histoire aussi de gagner un peu de temps). Je ne dis pas, il y a des bonnes choses (Dwight en serviteur robot, la mort de Toby ou le caméo de Rashida Jones), mais je trouve que le côté « enfant-roi » de Michael est un peu trop présent actuellement dans les épisodes de The Office, je me suis donc un peu saoulé de ce nouvel ego-trip