The Prisoner
Le Prisonnier
Lorsqu'un agent secret britannique démissionne, il est enlevé par un mystérieux groupe, et retenu prisonnier dans "le Village", un endroit d'où on ne peut sortir, et où on a pour seul nom un numéro. N°6 n'a que deux solutions pour quitter "le Village" : avouer le motif de sa démission, ou trouver un moyen de ...
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Terminée | Anglaise | 60 minutes |
Science-Fiction, Drama, Thriller | ITV1, France 2 | 1967 |
2 avis favorable
1 avis neutre
0 avis défavorable
Avis sur l'épisode 1.08
Avis favorable | Déposé le 15 janvier 2010 à 09:47 |
Probablement l’épisode le plus difficile d’accès, et peut être le moins bon pour le moment, je dis bien peut être car je pense que l’épisode mérite une analyse précise. On ne voit pas vraiment ou on va durant tout l’épisode, le numéro 2 est vraiment bizarre et applique une nouvelle approche avec Patou, plus humaine on va dire. Que retenir dans cet épisode ? Déjà on peut voir un ex agent secret, vieille connaissance de Patrick qui est la depuis longtemps, acceptant sont sort et donc en quelque sorte sa mort. Une question alors se pose depuis quand le village existe-t-il ? Autres éléments intéressant pourquoi ce mystère autour de la mairie et surtout numéro 2 qui nous explique que « numéro 6 à un avenir avec eux » Pourquoi pas les autres ? Enfin je n’y avais jamais pensé mais que se passe t’il la nuit, apparemment le village est ravitaillé mais c’est vrai que nous ne voyons jamais le village de nuit. Bref des éléments important sont distillé mais l’épisode est vraiment trop étrange pour que je sois complètement enthousiaste, malgré une esthétique recherché. Peut être faudra il le revoir. Ps : l’attaque de zombi à la fin c’est cool, Le parallèle procès-farce pas très fin, la mort officiel de Patou intéressante, et la scène de fin … bof |
l'ambiance est à son comble mais c'est vrai que le scénario est poussé peut être un peu loin. En tout cas on voit l'ingéniosité du héros qui sait jouer de toutes les facettes de sa personnalité pour avoir le numéro 2... comme il le peut... et surtout quand il le peut!