Quand la richesse matérielle s'implante dans la richesse naturelle, problèmes d'exploitants et problèmes d'exploités se croisent entre fins amères et réconciliations. The White Lotus n'est pas vraiment un thriller malgré ses airs mystérieux, elle n'est pas vraiment drôle mais tout de même teintée d'une belle ironie. Elle a une belle forme, mais sous ses plans lumineux empreints, parfois, d'une sincérité frôlant la liberté et l'authenticité, elle ne raconte que le destin de gens croulant sous l'argent entre priorités mal placées, sensation d'être piégé(e)s et questionnements sincères de ceux qui n'ont pas rien eu à faire pour être là où ils sont. Une belle réussite à consommer en cette période estivale.